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Questions des lecteurs (revues n° 61 à 70)

Autres questions parues : revues n° 1 à 10, 11 à 20, 21 à 30, 31 à 40, 41 à 50, 51 à 60, 71 à 80, 81 à 90 et 91 à 100

Questions de la revue n° 70 :

 70/1 (réponse dans la revue n° 70) : Je recherche toutes informations concernant Flesquières et ses environs de mai à décembre 1940 : photos, documents, témoignages, forces allemandes en présence. Merci d'avance de votre aide !

Mme C. B. (Champigny-sur-Marne, Val-de-Marne)

 70/2 (réponse dans la revue n° 70) : Dans l'ouvrage "Cattenières notre village", vous mentionnez dans la reconstitution des anciennes familles du village : Arnoul HUTIN marié à Marie LEMERRE avant 1653. Malgré mes recherches à la fois aux Archives du Nord et à la bibliothèque de Cambrai, je n'ai pas trouvé trace de cette famille.

M. P. D. (Verchain-Maugré, Nord)

 70/3 (réponse dans la revue n° 71) : Je me permets de vous adresser ce courriel dans le cadre de travaux universitaires. En effet, j'effectue un stage dans le laboratoire du Groupement de Recherche en Histoire (GRHis) de l'université de Rouen sous la direction du professeur Michel BIARD, spécialiste de la Révolution française. Ladite recherche doit permettre d'aboutir à un recensement des monuments commémoratifs de la Révolution française dans l'espace public : noms de rues, de places, statues et sculptures... En sus de mes recherches avec la littérature scientifique déjà existante, je souhaiterais m'appuyer sur le travail des sociétés savantes locales, telle que la vôtre, plus prompts à connaître l'histoire de votre région. Aussi, comme je l'ai écrit, auriez-vous connaissance de monuments liés à la Révolution de 1789, de discours prononcés dans l'espace public ou bien encore de rues ou places se référant à la Révolution ? Monuments toujours visibles ou non.

M. F.-O. C. (Évreux, Eure)

 70/4 (réponse dans la revue n° 72) : Qui pourrait me dire où a été photographiée cette scène ? La légende de la carte indiquerait qu'il s'agirait d'une rue de Cambrai.

M. K. P. (Cambrai, Nord)

 70/5 : J'émets l'hypothèse que la bataille de Vicus Helena qui aurait opposé au Ve siècle Clodion à Aetius se serait déroulée au lieu-dit "les Helembis" situé sur la commune de Sancourt, Hel signifiant colline, hem et vicus signifiant village. Ce lieu est en effet situé sur une hauteur, à proximité d'une frontière de cité (entre les Atrébates et les Nerviens), à proximité d'un pont (pont-rade entre Paillencourt et Wasnes-au-Bac) et à proximité de l'axe stratégique Arras-Cambrai. Nous ne disposons pour connaître cette bataille que de deux témoignages écrits, l'un de Grégoire de Tours, évêque de Tours, en 573, qui écrivit vers la fin du VIe siècle son "Historia Franco-rum" (histoire des Francs) et Sidoine Apollinaire (Caïus Jollius Modestus Apollinaris Sidonius), un écrivain latin devenu évêque de Clermont en 472 et auteur de lettres et poèmes qui écrit "Peu de temps après, vous (Aétius et Majorien) combattiez ensemble en un lieu qui ouvrait l'accès au pays des Atrébates, là où le franc Clodion avait pénétré dans ce pays. Un rétrécissement y bloquait la continuité de la route : Helena. bourg et fleuve en même temps, dominée par l'arche était traversée par une étroite chaussée... C'est là que tu avais pris position et que Majorien combattait à cheval au pied du pont. Le hasard voulut que sur une colline proche de ta rive on entendit les échos d'une noce barbare, des danses à la mode des Scythes célébraient les épousailles d'une jeune épouse, blonde comme son mari, il les culbuta". L'identification du Vicus Helena n'est pas résolue, mais c'est mon hypothèse, qu'en pensez-vous ?

M. É. C. (Condette, Pas-de-Calais)

 70/6 (réponse dans la revue n° 70) : Je travaille actuellement sur l'histoire de Hans et Parkie, deux éléphants saisis en 1795 au stathouder de Hollande Guillaume V pour être amenés à la ménagerie du Jardin des Plantes à Paris. Durant leur transport depuis les Pays-Bas jusqu'à Paris, ils ont hiverné à Cambrai. Je cherche à savoir s'il existe des traces historiques au niveau régional de leur séjour dans le Cambrésis. Cet épisode est-il évoqué dans l'ouvrage (malheureusement fort rare) de PASTOORS ? Existe-t-il des journaux de l'époque qui en ont fait mention ? Si on se fie à la bibliographie (notamment SABAN & LEMIRE, Les éléphants de la ménagerie du stathouder Guillaume V d'Orange... 114e congrès national des Sociétés savantes, Paris, 1989, pp. 275-300), les éléphants ont séjourné à Cambrai de fin brumaire an VI (aux alentours du 24 brumaire ; 14 novembre 1797) jusqu'au 24 ventôse (14 mars 1798). Le lieu exact à Cambrai du repos des éléphants ne m'est pas connu : des écuries recyclées ? Il existait apparemment à Cambrai des entrepôts destinés à stocker les biens d'arts et de sciences saisis sur les émigrés, le clergé et les condamnés. Les objets saisis par les armées de la République lors des campagnes en Rhénanie, Belgique et Provinces-Unies ont semble-t-il également transité par Cambrai. Existait-il sur place une administration dédiée à la mission d'inventorier et redistribuer ces biens ? L'arrêt à Cambrai se justifiait-il - outre la nécessité de ne pas exposer les éléphants aux rigueurs de l'hiver - par la présence de cette administration ?

M. P. C. (Grenoble, Isère)

 70/7 (réponse dans la revue n° 70) : Je suis habitant du village d'Homblières (Aisne) près de Saint-Quentin et j'ai entrepris, depuis quelques années, de reconstituer l'histoire de ma commune. Symphor BOITTELLE (1813-1897), originaire de Cambrai et fils de Casimir BOITTELLE, a habité au château d'Homblières de 1848 à 1856. Devenu préfet de l'Aisne, puis préfet de police de Paris, il vendra ce château qui fut détruit en 1918 par les Allemands. De cette époque, reste un portail monumental, avec une grille qui présente un emplacement ovale ayant sans doute porté des armoiries (une photo de 1869 montre déjà cette grille ainsi). Après avoir lu l'article sur Symphor BOITTELLE dans votre revue n° 42, je me suis demandé s'il pouvait s'agir des armoiries de ce personnage ambitieux. À la page 8, dans ce même article, Arnaud GABET montre des photos de la sépulture de Casimir, le père de Symphor, au cimetière de la Porte de Paris, à Cambrai. Un blason semble y avoir été représenté. Je me suis donc rendu dans ce cimetière et j'ai malheureusement constaté que le blason d'origine avait disparu. Ma question est donc la suivante : un membre de votre association connaît-il (ou pourrait-il trouver) les armoiries de la famille BOITTELLE ? Symphor étant enterré au cimetière du Père Lachaise à Paris (division 4), je n'ai pas réussi à voir sa sépulture en visite virtuelle. Il existe peut-être un ouvrage traitant des armoiries des familles bourgeoises du XIXe siècle ?

     
À gauche, portail du château d'Homblières vers 1867. À droite, vue d'ensemble de la propriété.

M. G. M. (Homblières, Aisne)

 70/8 (réponse dans la revue n° 70) : Ayant découvert récemment que l'un de mes aïeux était Robert LENGLET, natif de Troisvilles, habitant Inchy et "tué par les Hollandois" le 22 septembre 1707, je suis à la recherche d'informations sur ce "fait divers".

Mme D. L. (Bertry, Nord)

 70/9 (réponse dans la revue n° 70) : Je fais actuellement des recherches sur les membres de ma famille ayant participé à la Première Guerre mondiale. Ils s'appelaient Émile Edmond DUBOIS, Louis GRAIN et Léon Albert GRAIN. Ils sont tous nés à Villers-Guislain. Votre panneau sur "les poilus de Villers-Guislain" contient-il des informations sur lesdites personnes ?

M. A. A. (Saint-Saulve, Nord)

 70/10 (réponse dans la revue n° 72) : Qui pourrait m'en dire plus sur cette pierre retrouvée par un ami agriculteur à Fontaine-Notre-Dame et portant l'inscription "PATOUT dit TROMPET 1735".

M. J.-C. D. (Fontaine-Notre-Dame, Nord)

 70/11 : Mon ancêtre Jacques Joseph PODEVIN, né en 1741 à Cambrai, était "faiseur de chaise". Il arrive à Bruxelles vers 1760 et y épouse le 11 avril 1768 (paroisse Saint-Michel et Gudule) Marie Françoise ALEXANDER. Il était ami d'Antoine WILPART (qui fut son témoin de mariage et le parrain d'un de ses enfants) aussi originaire de Cambrai. Il eu un enfant à Cambrai et trois à Bruxelles, mais je n'ai pas retrouvé sa descendance à Bruxelles. Lors du baptême de sa fille à Cambrai (10/01/1756 paroisse Saint-Martin), sa profession indiquée était "maître vitrier". Pourquoi deux artisans, l'un "faiseur de chaises", l'autre "maître vitrier", ont-ils quitté Cambrai pour Bruxelles vers 1760 ? À cette époque, la paix étant revenue dans les Pays-Bas autrichiens, un grand nombre de palais ont été construits ou agrandis. C'est le cas du palais de Charles de Lorraine (gouverneur des Pays Bas), qui avait passé sa jeunesse en Lorraine à Lunéville et Nancy. Existe-t-il à Cambrai des documents qui me permettraient de comprendre l'histoire de mes aïeux de Cambrai ?

M. M. R. (Folx-les-Caves, Belgique)

 70/12 (réponse dans la revue n° 71) : Recherche photographies et toutes informations concernant mon grand-oncle le Serjeant (Sergent) James Joseph Mc MAHON. du 12th Bn du Suffolk Regiment (27419), né vers 1891, fils de Michael et Annie Mc MAHON, des Cottages, Adare, Co. Limerick (Irlande). Il obtint une importante distinction : la D.C.M. (Distinguished Conduct Medal) suite à un acte de bravoure le 25 septembre 1917 à Gonnelieu. Il fut tué à l'âge de 27 ans le 12 avril 1918 à Fleurbaix et inhumé au cimetière du Souvenir de Longuenesse (tombe VA 27), près de Saint-Omer.

Mme M. M. (Les Attaques, Pas-de-Calais)

Questions de la revue n° 69 :

 69/1 (réponses dans les revues n° 69 et 70) : Recherche ascendants de VESLY Joseph Pierre, né le 16 août 1863 à Lesdain, décédé le 19 février 1937 à Lesdain (fils d'Augustin Ghislain et NOYELLES Adélaïde ; pas d'autres précisions), marié le 25 février 1897 à Lesdain avec BRICOUT Cunégonde Marie née le 13 mai 1869 à Lesdain, décédée le 10 juin 1948 à Cambrai, fille de Charles Hubert BRICOUT et de BERTON Maria (décédée à Cousolre).

Mme B. D. (La Garenne-Colombes, Hauts-de-Seine)

 69/2 (réponse dans la revue n° 69) : J'ai découvert dans votre ouvrage historique sur Raillencourt-Sainte-Olle que les vitraux de l'actuelle église de Sainte-Olle provenaient de l'ancien séminaire de Cambrai de la route de Solesmes (aujourd'hui ADAPT) et qu'ils avaient été réalisés (ainsi qu'une fresque et les objets du culte) par Valentine REYRE. Pourriez-vous m'en dire plus sur cette artiste et sur ses réalisations ?

Mme M.-P. B. (Blécourt, Nord)

 69/3 (réponse dans la revue n° 69) : Existe-t-il, comme dans certaines villes comme Lille, Douai, Arras, des listes des bourgeois ou registres de bourgeoisie de la ville de Cambrai ?.

Mme M. F. (Saint-Sauveur-de-Montagut, Ardèche)

 69/4 : Recherche date de mariage et de décès à Villers-Guislain du dénommé Martial Jean Baptiste Joseph Aude PREVOT, né le 19/11/1849 à Villers-Guislain, fils de Jean Baptiste Séraphin PREVOT et de Marie Madeleine Joséphine Euphrosine HAGARD.

M. M. A. (Aix-en-Provence, Bouches-du-Rhône)

 69/5 : Cyril GUESNON et moi-même tenons à vous informer de la création toute récente du site "Homme et loup. 2000 ans d'histoire", un site sans équivalent en Europe, interactif, et qui intéresse directement les généalogistes. Le public dispose désormais de plus de 2 000 transcriptions intégrales d'actes (actes de décès, documents administratifs, chroniques, expertises médico-légales, comptes rendus de presse...) et près de 1 500 photographies de sources originales réparties dans plus de 70 départements. Le corpus intéresse plus de 1 100 communes actuelles et plus de 1 650 patronymes différents. Nous vous invitons à aller le consulter et à en parler autour de vous. Résultat d'une enquête nationale de douze années conduite par le Pôle Rural de l'université de Caen, cette base de données rend compte des relations souvent conflictuelles entre l'homme et le loup. Dans cette entreprise, le premier volet vient d'être mis en ligne : il porte sur les attaques de loups prédateurs sur l'homme. Un second volet est prévu pour 2015 à propos des victimes de loups enragés et un troisième, pour 2016. portera sur les chasseurs et les primes de chasse au loup. Près de 9 000 victimes en l'état actuel de la recherche ont ainsi pu être retrouvées du Moyen Âge à 1918. Pour une bonne partie, on en fournit l'identité, la localisation et les pièces justificatives. Ces résultats, portés au public, révèlent les conditions de vulnérabilité à l'égard du prédateur selon le contexte environnemental et historique. Le corpus démontre que le loup, fléau pour l'économie rurale de jadis, a pu l'être aussi, sous certaines conditions, pour la sécurité des hommes. Par ailleurs, cette étude s'insère dans un cadre interdisciplinaire et international. En octobre dernier, s'est tenu à Saint-Martin-Vésubie un symposium qui s'interrogeait sur la cohabitation entre homme et loup, en rassemblant, pour la première fois, chercheurs de toutes disciplines et acteurs. Les actes de cette manifestation, qui comportent une cinquantaine de contributions, seront publiés courant mai par les éditions Tallandier sous le titre "Vivre avec le loup ? 3000 ans de conflit". En espérant que ces travaux puissent être utiles, n'hésitez pas à les faire connaître et à les mentionner dans vos bulletins, mais aussi à nous faire part de vos critiques, de vos corrections et de vos éventuels compléments.

M. J.-M. M. (Caen, Calvados)

 69/6 (réponse dans la revue n° 69) : Recherche tous renseignements sur la carrière militaire d'André Henri BEAUVOIS, né le 31 octobre 1877 à Blécourt, décédé le 9 novembre 1924.

Mme M.-P. B. (Blécourt, Nord)

 69/7 (réponse dans la revue n° 71) : Recherche informations sur les œuvres picturales réalisées dans le mess de l'aérodrome de Niergnies par le peintre Félix LALISSE, né le 9 mars 1905 à Douai, décédé le 27 janvier 1982 à Paris (frère de M. LALISSE. docteur à Ligny-en-Cambrésis)..

Mme M.-P. B. (Blécourt, Nord)

 69/8 : Vincent CHEVALIER est dit "bourgeois" dans le contrat de mariage de son fils le 30/12/1657 avec Marie POCHET (AD59. 2E26-24). Les naissances de ses enfants donnèrent pour mère Marie VICOIGNE. Le mariage CHEVALIER-VICOIGNE a eu lieu en la paroisse Saint-Martin de Cambrai le 15/07/1628, mais je n'ai pas trouvé de mariage CHEVALIER-POCHET. Qui pourrait m'en dire plus à ce sujet ?.

Mme M. F. (Saint-Sauveur-de-Montagut, Ardèche)

 69/9 : Il apparaît que l'orientation des églises de Banteux et de Gouzeaucourt était différente. Normalement, le chœur est orienté vers le soleil levant. Alors pourquoi cette anomalie ?.

M. R. D. (Banteux, Nord)

Questions de la revue n° 68 :

 68/1 (réponse dans la revue n° 68) : Dans son livre "Orages d'acier", Ernst JÜNGER évoque son séjour à Escaudœuvres, début août 1918, rue des Bouchers ; la maison qu'il occupait donnait sur un cimetière. Est-ce que quelqu'un aurait des précisions particulières sur ce séjour ? Je pense à une confusion de l'auteur avec la rue de Bouchain.

M. M. A.-Z. (Escaudœuvres, Nord)

 68/2 (réponse dans la revue n° 69) : Dans votre exposition sur "les Figures du Cambrésis", vous n'avez pas fait apparaître Paul DUEZ, dont le nom a pourtant donné un lycée à Cambrai. Qui était ce personnage ?

M. P. H. (Estourmel, Nord)

 68/3 (réponse dans la revue n° 68) : Je fais actuellement une étude sur les évacués de 1917 à destination de la Belgique en vue d'une exposition qui sera organisée en octobre 2014 par notre association "À la recherche du passé d'Halluin". En juin 1917, les autorités allemandes ont procédé à l'évacuation en masse de plusieurs communes de la vallée de la Lys, proche du front dont Halluin ; 6 000 personnes de cette commune ont été envoyées dans la périphérie de Bruxelles. En recherchant dans les archives générales de Bruxelles les noms des communes d'origine et de destination, j'ai, entre autres, découvert que la commune de La Hulpe (au sud-est de Bruxelles) avait accueilli un millier d'évacués venant de communes du Cambrésis (vraisemblablement évacués en mars, c'est-à-dire avant l'évacuation dans notre région). Les communes d'origine citées sont Achiet, Beaurevoir, Bertry, Busigny, Clary, Crèvecœur, Élincourt, Guyancourt, Le Transloy, Ligny, Moislains, Prémont, Proville, Saint-Souplet, Selvigny, Vendhuille, Walincourt, toutes communes situées entre Bapaume et Cambrai. Cela se faisait dans le cadre de Sociétés coopératives, patronnées nécessairement par un Français. Ils ont été basés à Gouzeaucourt et Gonnelieu qu'ils reconstruisirent, mais ils ont aussi reconstruit Boursies (il paraît que le premier mariage après la reconstruction de l'église fut un Gaston RAES de La Hulpe avec une jeune fille de Boursies). Vu la difficulté de logement, ils ont trouvé une maison à Gonnelieu et leur fille est née là en 1922. Il y avait une famille EVERAERTS composée de plusieurs frères et une sœur qui a en fait dirigé la Coopérative faisant divers ateliers à Gouzeaucourt (il y a des cartes postales). La sœur a eu un fils né à Cambrai. Auriez-vous des renseignements concernant cette évacuation ? A-t-elle été organisée par les autorités allemandes comme dans notre région ? Existe-t-il des listes de ces évacués ? À quelle époque a-t-elle eu lieu et pourquoi La Hulpe ? Une personne de La Hulpe fait actuellement des recherches à ce sujet, mais malheureusement, les archives de cette commune ont été détruites par un incendie. Peut-être une étude à ce sujet a-t-elle été réalisée par un historien de votre région ? En tous cas, tous renseignements sur cette évacuation et la situation de ces communes dans cette période nous intéressent.

M. M. V. (Neuville-en-Ferrain, Nord)

 68/4 : Pourriez-vous me communiquer des photos anciennes du moulin de Thun-Saint-Martin. En effet, mon arrière-arrière-grand-père François HOURIEZ l'a exploité avec son frère Jules. Seul Jules a fini ses jours au moulin (en 1930) car il en était très certainement le seul propriétaire. François (décédé à Iwuy en 1921) ne devait l'occuper que pour une durée déterminée. J'ai entendu dire que sur le moulin figurait une plaque avec l'identité de son fondateur. En savez-vous davantage ?

M. G. D. (Maureillas-las-Illas, Pyrénées-Orientales)

 68/5 : Auriez-vous des informations sur la bataille du Sabis qui opposa en 57 avant Jésus-Christ Jules César aux Belges ? L'hypothèse la plus communément admise la localise sur la Selle. Cette hypothèse, bien que la plus "plaisante", est non encore indubitablement démontrée ou étayée par des trouvailles archéologiques précises. Elle ne trouve en fait son fondement que sur l'étymologie du nom de la rivière Selle et son origine à partir de l'évolution du nom Sabis, en appuyant ce raisonnement sur l'assertion que César connaissait l'existence du Scaldis et ne pouvait confondre les deux rivières (lui ou les copistes), mais César n'avait encore jamais mis les pieds en territoire des Nerviens avant la bataille, fait dont il n'est pas tenu compte ! Les seuls éléments historiques que nous ayons sont et restent les commentaires de César dans "la Guerre des Gaules" et parmi ceux ci : les trois journées de marche en territoire des Ambiens pour se trouver à la fin de cette troisième journée à 10 miles (15 km) du camp des Nerviens et leurs alliés près de la "Sabis" où se déroulera la bataille ; l'existence d'une frontière commune entre les territoires des Ambiens et des Nerviens mentionnée par César, les haies nerviennes et une rivière "encaissée" profonde de 3 pieds dans une vallée aux pentes douces, lieu de l'affrontement. Je suppose que les Romains ont emprunté des voies de circulation gauloises (reprises plus tard en voies romaines) et qu'il sont partis de l'Oppidum-Camp de César près d'Amiens. Si l'on s'en tient à la logique des Nerviens qui livrent bataille sur la frontière de leur "territoire" pour ne pas donner la possibilité aux Romains de le dévaster et aux fameuses haies qui sont une protection frontalière, destinées à gêner les "mouvements de troupes" étrangères qui pénétreraient sur leur sol, je considère deux hypothèses de trajet :

1) L'hypothèse de la bataille du Sabis sur la Selle, implique pour y arriver en trois jours de marche + 15 km un passage par Albert, Bapaume et Cambrai, puis le passage de l'Escaut au niveau de Cambrai ce qui implique une marche de plus d'une journée en territoire des Atrébates alliés aux Nerviens. Je ne vois pas pourquoi les Atrébates auraient alors laissé les Romains traverser leur territoire pendant plus d'une journée en le ravageant sans doute et seraient aller attendre tranquillement les Romains 15 km à l'intérieur du territoire des Nerviens ! Je ne vois pas non plus pourquoi alors les Nerviens (et leurs alliés) n'auraient pas livré bataille sur l'Escaut à leur frontière, bénéficiant ainsi de plus d'un obstacle naturel important qui aurait mis les Romains devant une difficulté supplémentaire !

2) Une autre possibilité est une marche des légions de César vers Vermand jusqu'à la Somme, puis après Villers-Carbonnel en direction du territoire des Nerviens par Péronne, Fins... Fins serait une frontière (selon l'étymologie du nom, GYSSELING en fait la frontière commune entre les territoires de Atrébates, Viromanduens et Nerviens) et serait peut être cette frontière commune avec le territoire des Ambiens dont parle César. Fins serait de plus effectivement suivant cet itinéraire à trois jours de marche d'Amiens (68 km, 85 km de l'oppidum, par les routes actuelles qui reprennent le tracé des voies romaines), dans le territoire des Ambiens et à proximité de la frontière avec les territoire des Nerviens, sans traverser le territoire des Atrébates (toujours selon cette indication par César) et sans avoir à franchir l'Escaut sur son cours moyen. La situation me parait devenir plus logique avec les environs de Fins en fin de marche, entre Fins et l'Escaut se trouve effectivement la frontière. Mais c'est l'Escaut et non pas la Selle ! Il devient beaucoup plus logique d'un point de vue militaire que les Nerviens attendent les Romains sur leur frontière et derrière un obstacle naturel (la rivière Escaut) et de plus la position des haies défensives s'explique alors beaucoup mieux (défendant la frontière). Pourquoi des haies défensives (en principe défense frontalière sur le "no man's land") sur la Selle et donc déjà loin à l'intérieur du territoire Nervien ? N'oublions pas, par ailleurs, que ces haies nécessitent un temps (plusieurs années) pour se développer et devenir vraiment des obstacles et qu'elles sont donc plantées à demeure fixe. Pourquoi les Nerviens les auraient alors plantées à l'intérieur de leur territoire ? Enfin cette position explique tout aussi bien (et même mieux) pourquoi les Atuatuques n'ont pu arriver à temps pour la bataille, ayant eu à traverser tout le territoire des Nerviens (et pas seulement une partie dans le cas de la Selle).

Autre question : les Nerviens et leurs alliés (renseignés) savent par où César et ses légions vont arriver et sont donc positionnés au plus près de la frontière sur le point de passage. Sur la Selle, ils sont trop en retrait de la frontière. L'argument contre l'Escaut est la connaissance qu'aurait eu César du nom du fleuve Scaldis. Certes il en connaît le nom, mais en connaît-il le cours exact ? Par contre, je n'ai aucun doute que César savait compter jusqu'à 3 (jours de marche), apprécier des distances (10 miles) et savoir qu'il était encore en territoire des Ambiens pendant ces trois jours de marche. Je pense donc que la situation de la "bataille du Sabis" entre Cambrai et les sources de l'Escaut dans un rayon d'arc de cercle de 15 km autour de Fins n'est pas à exclure, parce qu'elle respecte tout simplement tous les éléments du récit de César aussi bien et voir mieux que le site de la Selle (par ailleurs lui à encore environ 1,5 jour de marche de Fins sur ce premier itinéraire). Il ne faut pas oublier la description de la rivière Escaut rapportée par le docteur André Joseph Ghislain LE GLAY dans Mémoires de la Société d'Emulation de Cambrai - séance publique du 18 août 1831 et déjà rapportée fidèlement par M. Frédéric DRIGUET sur le site Histoire d'Haspres de M. Olivier LEGRAND. "Or, je trouve dans ces parages, à huit lieues environ de l'extrême frontière des Nerviens et des Ambianais, un emplacement qui rappelle toutes les circonstances énoncées par César. Au sud de Cambrai, vers l'ancienne ville de Crèvecœur, l'Escaut, déjà grossi par l'abondance de ses sources et par les ravins qui descendent des hauteurs voisines, présente sur plusieurs points une profondeur de trois pieds et plus. Son lit très encaissé est ça et là protégé par des rives fort escarpées. Sur la droite du fleuve s'élève un plateau que couronnent les bois des Quesneaux, de la Gourditie et de Vaucelles, et qui se continue avec le Montécouvet et d'autres mamelons, tels que le Belgemont, aujourd'hui Révelon, etc. Sur la rive gauche, nous voyons la hauteur de Bonavis qui, nonobstant sa pente douce et presqu'insensible, est, relativement au niveau de la mer, le point le plus élevé du département du Nord." C'est un indice important de plus, que je pense objectif, qui correspond à la description que fait César dans ses commentaires. Je cherche donc s'il y a des éléments anciennement trouvés dans cette zone (fouilles, objets, squelettes, étymologie de lieux, études, publications locales, ...) qui pourraient apporter un éclairage (en confirmant ou infirmant) cette hypothèse de l'Escaut pour le site de la bataille du Sabis que je ne suis pas le seul à émettre.

M. É. B. (Saint-Félix, Oise)

 68/6 (réponse dans la revue n° 68) : Mon association a retrouvé dans les archives municipales de Villepreux (près de Saint-Cyr-l'École, à 15 kilomètres de Versailles, dans les Yvelines) un état nominatif de 1916 des réfugiés allocataires originaires des communes de Banteux et de Bantouzelle. Quelqu'un aurait-il des informations sur ces personnes et sur les dates et raisons de cette évacuation ?

Mme M.-T. L. (Villepreux, Yvelines)

 68/7 : Recherche les parents de Marie Josephe JOSSE, née vers 1799 et morte le 10 juillet 1874 à Bantouzelle, épouse de Jean-Baptiste RINGEVAL, chaufournier, né le 17 janvier 1799 et mort le 4 juillet 1853 à Bantouzelle.

M. N. G. (Genève, Suisse)

 68/8 (réponse dans la revue n° 68) : Dans mon ascendance, on trouve Judith de CAMBRAI (vers 920-983) qui aurait épousé Amaury, comte de Valenciennes et de Montfort, d'où la famille des seigneurs de MONTFORT-L'AMAURY. Pourrais-je obtenir des informations sur l'ascendance de Judith et des preuves sur l'existence de ces comtes de Cambrai ?

Mme J. H. (Wambaix, Nord)

 68/9 (réponse dans la revue n° 69) : Qui pourrait m'indiquer où se trouvait ce "Soldattenheim" de Cambrai en 1914-1918 ?

M. P. C. (Cambrai, Nord)

 68/10 : Cette photographie est légendée "Usine ARINCOURT" à Cambrai. Qui pourrait m'en dire plus ?

M. K. P. (Cambrai, Nord)

 68/11 : Architecte chargée de la restauration de l'église Sainte-Élizabeth-de-Hongrie de Neuville-en-Avesnois, je suis à la recherche de tous éléments retraçant son histoire et celle de sa construction. Et sur les architectes qui ont travaillé sur cet édifice : André et Henry de BARALLE, architectes, au cas où ils contiendraient des plans ou (et) documents liés à cet édifice ? Au début du XIXe M. François LANBOURG (orthographe à vérifier...) ? et au XXe M. BEAURAIN, architecte cambrésien ?

Mme M. L.-B. (Saint-Martin-sur-Écaillon, Nord)

 68/12 : Mon grand-père Alfred DESPAGNE est né en 1916 au 32 bis rang Saint-Jean à Cambrai. Plusieurs ménages habitaient alors à cette adresse. Trouvait-on un bâtiment spécifique en ce lieu ?

M. D. D. (Cambrai, Nord)

Questions de la revue n° 67 :

 67/1 : Je recherche le mariage entre Aubert TORDOIS (ou TORDOIR) et Alexandrine MERESSE (décédée le 27 germinal an XIII), que je situais entre le 06/02/1759 (1er mariage avec Jeanne-Marie GAMBAY à Niergnies) et juin 1782 (date de naissance d'Aubert fils selon acte de mariage avec Amélie FAILLE le 15 janvier 1810 à Noyelles-sur-Escaut). Or je découvre à Marcoing :

  • un remariage le 4 mars 1833 de ce fils Aubert veuf de Armeline FAILLE, âgé de 46 ans (soit né en 1787), avec Angélique BEAUVAIS.
  • l'union le 3 juillet 1833 de Mélanie TORDOIR, veuve de Jean Baptiste FAILLE x le 02/07/1805 à Lesdain, avec Jean-Baptiste OGEZ, qui nous apporte des indications. Cette dernière née en 1779 (54 ans) serait fille de Aubert TORDOIS et Marguerite GABET. Qui peut m'éclairer à ce sujet ?

M. C. A. (Bourlon, Pas-de-Calais)

 67/2 (réponse dans la revue n° 72) : J'ai découvert sur votre site Internet un panneau sur "Les Femmes du Cambrésis" qui a été réalisé dans le cadre de l'anniversaire : "Cambrésis Terre d'histoire fête ses 20 ans". On y trouve notamment un article sur mon arrière-grande-tante Henriette BALESI alias "Madame Blanche". Toutes les informations la concernant sont susceptibles de m'intéresser.

M. C. G. (Paris)

 67/3 (réponse dans la revue n° 68) : Recherche ascendance de Célestin DESPAGNE, décédé le 8 avril 1865 à Lesdain, qui épousa le 4 novembre 1829 à Lesdain Aleximie BÉTHUNE.

M. P. F. (Bauvin, Nord)

 67/4 (réponse dans la revue n° 67) : Qui pourrait m'indiquer quelle est cette église (située près de Masnières) détruite pendant la Première Guerre ?

M. K. P. (Cambrai, Nord)

 67/5 (réponse dans la revue n° 67) : Adepte de la généalogie, j'ai retrouvé l'acte de baptême de Marie Anne Joseph TOFFLIN (baptisée le 16 août 1724 à Fontaine-au-Pire). Il apparaît que son parrain était Jacques Philippe DUPONT de la cense de Bonineul. J'ai recherché dans vos revues et sur Internet, mais je n'ai pas trouvé ce nom. Où était Bonineul ?

M. J.-P. D. (Toulouse, Haute-Garonne)

 67/6 : Qui pourrait me dire quelle est cette grande forme que l'on distingue dans la rue des Bellottes sur cette carte postale de la place de Cambrai dans les années 1960 ?

M. P. C. (Cambrai, Nord)

 67/7 : Dans le cadre de la préparation d'une exposition intitulée "Maretz d'hier" qui sera proposée en début 2014, je suis à la recherche d'une photo du corbillard de Maretz et de cartes postales représentant l'intérieur de l'Institut Dom Bosco.

Mme D. T. (Maretz, Nord)

 67/8 : Je suis à la recherche d'informations sur les différents sièges d'organisations militaires et politiques du Ille Reich implantés dans Cambrai et dans les environs de 1940 à 1944. Si j'en crois certains témoignages verbaux recueillis, je pense savoir qu'une structure du N.S.K.K. (Nationalsozialistische Kraftfahrkorps) était implantée derrière l'Hôtel de Ville de Cambrai. De plus, un garage régi par la Waffen S.S. devait se trouver rue d'Alger (Transport und Nachschubtruppen). Je suis par ailleurs à la recherche d'informations sur la Libération de Cambrai (documents/photos) le 2 septembre 1944 et des combats défensifs livrés par la 9e division S.S. Hohenstaufen (Flak-regiment) sur la ville contre les troupes américaines (surtout les combats qui se sont déroulées avenue de Valenciennes).

M. R. B. (Cambrai, Nord)

 67/9 (réponse dans la revue n° 67) : Sur le monument aux morts de Neuville-Saint-Rémy, on peut lire les noms de :

  • Gustave Hippolyte FRONVAL, né en 1885 et disparu le 22/10/1914 à La Pêcherie, chemin des Dames, source F.M. que je possède et avis de transcription trouvé sur les AD59 en ligne le 09/02/1921 à Cambrai.
  • Henry Joseph FRONVAL, né en 1888 et décédé le 20/08/1915 à Villiers-en-Prayères (02), source F.M. que je possède.

Sur ce même monument, on trouve aussi les civils dont : Henri FRONVAL décédé dans le bombardement du 23/10/1918, Eugénie FRONVAL-MOREL son épouse décédée le 23/10/1918 et Fernand FRONVAL décédé le 23/10/1918.

Dans le "Cambrésis Terre d'Histoire" consacré à Alfred FRONVAL, on dit que deux de ses frères sont morts à la guerre, ensuite que sa mère et deux autres frères sont morts dans le bombardement. Ce que je me demande, vu l'ordre indiqué sur cette liste au cimetière, je dirais que c'est ainsi, le père, la mère et l'enfant, mais peut-être que je me trompe ? Se pourrait-t-il aussi qu'il y ait eu confusion, tout à fait exceptionnelle, entre les deux Henri, le père et le fils dans cette revue ?

Mme L. E. (Valenciennes, Nord)

 67/10 (réponse dans la revue n° 67) : Historien, mes recherches m'amènent vers le Cambrésis et plus particulièrement vers Haucourt, Haucourt-en-Cambrésis. Les personnes qui sont l'objet de mes recherches, les VATIN, sont déclarés nés au "château" d'Haucourt bien que les parents soient dits domiciliés à Bohain. Il apparaît que ces VATIN arrivent au château par mariage en 1840 avec la fille LANTHIEZ, fille du maire d'Haucourt et propriétaire du château. Quel est donc ce château dont le descriptif dit qu'il possédait une tour du Xlle siècle, qu'il devint une colonie de vacances et accueillit une communauté de Pères Camilliens. Dans l'annuaire des châteaux consulté sur Gallica, ce château était au début du siècle (jusqu'en 1935...) propriété de Félix ALBINET et de sa femme Jeanne VATIN. Disposeriez-vous d'informations sur ce château, sur ses propriétaires et auriez-vous une représentation de ce qu'il était en 1850 et maintenant : carte postale ou photographie ?

M. Y. M. (Équeurdreville-Hainneville, Manche)

Questions de la revue n° 66 :

 66/1 (réponse dans la revue n° 67) : Je recherche toute information sur Antoine ROBERT, cité dans un acte d'échevinage du 17 novembre 1569 (A.D.59, Cumulus C 18330), clerc paroissial à Crèvecœur et époux de Marie PAILLE, dans lequel acte de vente, il achète des terres à Masnières. Jean DOFFE évoque la possibilité qu'il soit à l'origine de la branche de Thomas ROBERT et Jeanne THIEULLOT de Masnières, dont je descends. Qui pourrait également me donner des informations sur la fonction de clerc qui m'intrigue également ?

M. O. R. (Paris 15e)

 66/2 (réponse dans les revues n° 66) : Je fais actuellement des recherches sur Maximilien Joseph comte de TAUFFKIRCH (graf von TAUFKIRCHEN), comte du Saint-Empire, marquis de Wargnies, baron de Crèvecœur, vicomte et châtelain héréditaire de Cambrai, premier pair du Cambrésis à cause de ses terres, pairies et seigneuries de Rumilly et Saint-Souplet, seigneur de la principauté de Barbençon au pays d'Hainaut français, seigneur de Guttenburg, d'Englburg, Tittling et autres lieux de l'électorat de Bavière, chambellan de S.A.S. l'électeur de Bavière et Palatin, ancien colonel de cavalerie et grand bailli de Kranzberg, dont vous faites mention dans la revue n° 16 (octobre 1996) au sein de l'article consacré aux "Châteaux et châtelains de Crèvecœur de 1581 à 1917". Je fais appel à vous car je ne trouve pas, sur les arbres généalogiques accessibles par Internet, les traces certaines de ce personnage. Il est possible - mais non certain - qu'il s'agisse de Max Emmanuel Joseph Johann Nepomuk Franz de Paula, graf von TAUFFKIRCHEN, qui serait né le 22 décembre 1728 à Ingolstadt et serait décédé le 24 février 1799 à l'âge de 70 ans. Selon d'autres sources, il serait né en 1715, également à Ingolstadt et serait décédé aussi le 24 février 1799, à Neukirchen, Engelburg... à l'âge de 84 ans. Je cherche donc toute pièce qui pourrait me confirmer ce que je crois probable, à savoir que Maximilien Joseph comte de TAUFFKIRCH, marquis de Wargnies, prince de Barbançon... était bien l'un des enfants de Max Joseph von TAUFFKIRCHEN et de Maria Ludovika Theodora d'ANNEUX de WARGNIES, et qu'il avait (au moins) comme frères : Maximilien Emmanuel et Joseph Domenikus graf von TAUFFKIRCHEN (nom auquel a été ajouté, sans doute au début du XIXe siècle - et la famille existe toujours : "zu GUTTENBERG".

M. B. D. (Wargnies-le-Grand, Nord)

 66/3 : Recherche des informations complémentaires sur mon aïeul direct Pierre Joseph BERTRAND dit BERTRAND-MILCENT, qui fut député-maire de Cambrai et à l'origine de la cité du même nom à Proville. Recherche notamment des informations sur l'industrie du tissage qui devait être assez importante d'après le nombre d'ouvriers qu'il faisait travailler et sur l'un de ses fils Alfred BERTRAND (1848-1927) qui eut pour gendre René HERSCHER. Tous les deux furent administrateurs de la Société Anonyme de Blanchiment et Teinturerie de Cambrai. De quoi s'agit-il ? Je recherche aussi quelle fut l'action d'Alfred BERTRAND au siège de Landrecies qui lui valut d'être élevé au titre de chevalier de la Légion d'honneur. Concernant René HERSCHER, je recherche les actions qu'il a pu faire non seulement au sujet de l'entreprise mais aussi sur son action pour la reconstruction industrielle de Cambrai et de ses environs.

M. J.-P. D. (Droue-sur-Drouette, Eure-et-Loir)

 66/4 (réponse dans la revue n° 66) : Recherche l'historique de l'hôtel particulier sis au n° 7 de la rue Vaucelette à Cambrai, hôtel avec cheminée à trumeau, rampe d'escalier avec corne d'abondance toute sculptée, jardin d'été et d'hiver. Était-il à l'origine la propriété de l'abbaye de Vaucelles ? Dans ma jeunesse, mes parents avaient loué le rez-de-chaussée à un sculpteur.

M. J.-P. D. (Droue-sur-Drouette, Eure-et-Loir)

 66/5 (réponse dans la revue n° 66) : Je vous écris de la part de Monsieur Stefan MARTENS, directeur par intérim de l'Institut Historique Allemand de Paris. L'I.H.A.P. prépare en ce moment un projet de mise en ligne de photographies des années 1920-1930 et de la période d'Occupation représentant des bâtiments ayant été réquisitionnés par les services d'occupation allemands. Il s'agirait de photos représentant des bâtiments ayant servi à toutes sortes de services et d'activités, comme par exemple les foyers de soldats allemands... Nous recherchons également des photos de services administratifs français de la même époque comme les préfectures. Pourriez-vous nous indiquer des ouvrages d'histoire ayant été rédigés sur votre région qui pourraient nous aider à repérer des adresses et des lieux réquisitionnés par les forces d'occupation allemandes ?

Mme E. M. (Paris)

 66/6 (réponse dans la revue n° 67) : Je fais des recherches sur les anciens présidents du Conseil général du Nord. Pourriez-vous, s'il vous plaît, me dire la date d'élection de Maximilien FAREZ comme conseiller général et de quel canton et de sa nomination comme conseiller municipal de Cambrai ?

M. L. L. (Lille, Nord)

 66/7 (réponse dans la revue n° 66) : Ayant habité enfant, de 1964 à 1972, au n° 7 de la rue Delphin-Dutemple à Cambrai, j'aimerais savoir si quelqu'un pourrait me dire quel était le bâtiment (usine ?) qui était situé en face de cette maison ? L'entreprise n'était plus en activité, mais elle disposait toujours d'une grande cheminée qui menaçait de tomber.

M. M.-L. C.-L. (Châtillon-sur-Cluses, Haute-Savoie)

 66/8 (réponse dans la revue n° 66) : Recherche informations sur l'historique de l'église d'Aubencheul-au-Bac.

M. C. D. (Neuville-Saint-Rémy, Nord)

 66/9 (réponse dans les revues n° 66 et 67) : Recherche ascendance de Nicolas BRICOUT de Lesdain, époux de Marie Jeanne WARGNIER (Cm du 22 mai 1788), fils de Nicolas BRICOUT et Brigitte Pacifique PRUVOST. Dans le contrat de mariage précité est soulignée la présence de Pierre Joseph BRICOUT, oncle de Nicolas Joseph ; de Philippe THELLIEZ son bel-oncle ; de sa tante Marie Thérèse BRICOUT.

M. C. A. (Bourlon, Pas-de-Calais)

 66/10 (réponse dans la revue n° 66) : Je suis en train d'écrire une documentation sur les événements dans le Nord de la France en 1814, en particulier traitant l'arsenal de La Fère. En juin 1814, un grand transport des matériaux venant de la Fère et destiné pour la Prusse était bloqué à Cambrai par le commandant de la place. Ce dernier ayant reçu l'ordre de laisser passer le transport. Alors, qui était le commandant de Cambrai en juin 1814 ? Était-ce le colonel en retraite Jean-Joseph BURGAIROLLES ?

Dr D. Z. (Bochum, Allemagne)

 66/11 (réponse dans la revue n° 66) : Pourriez-vous me dire où se trouvait cette caserne allemande de Cambrai où flottait le drapeau Nazi pendant la Seconde Guerre mondiale ?

M. R. R. (Cambrai, Nord)

 66/12 (réponse dans la revue n° 66) : Dans la "Revue du Nord" de 1892 (tome 2), il est indiqué : "D'après les registres de Cambrai de 1440 à 1560, parmi les Sociétés de récréation de cette ville, on pouvait trouver les joueurs sur carshars". Qu'est-ce que cela signifie ?

M. K. P. (Cambrai, Nord)

 66/13 (réponse dans la revue n° 66) : Il semblerait que bon nombre d'habitants de Fressies et de sa région ont quitté Fressies pour Selvigny et Walincourt vers les années 1730-1740. Quelqu'un pourrait-il m'en expliquer la raison ?

M. J.-P. G. (Gard)

 66/14 (réponse dans la revue n° 66) : Je fais ma généalogie et je me rends compte que beaucoup d'ouvriers briquetiers se sont installés à Avesnes-les-Aubert entre 1850-1860 (dont deux de mes ancêtres) et ont pour origine les villages aux alentours de Courtrai. Quelle en est la raison ? Pouvez-vous me renseigner ? Avez-vous déjà fait une étude sur ce thème ?

Mme L. P. (Cambrai, Nord)

 66/15 (réponse dans la revue n° 66) : Je suis étudiante en Master 2 "Recherche archéologie de la Méditerranée antique et médiévale" à l'Université Paul VALÉRY de Montpellier. Mon travail de recherches, que j'effectue sous la direction de Laurent SCHNEIDER, porte sur les ateliers et la circulation monétaire carolingiens de la Septimanie - l'actuel Languedoc-Roussillon (VIIIe-Xe siècles). Pour étudier la circulation monétaire, je dois effectuer plusieurs corpus : les monnaies carolingiennes trouvées en territoire septimanien, les monnaies septimaniennes trouvées en Septimanie mais également hors Septimanie. C'est par rapport à ce dernier point que je vous contacte. J'aurai souhaité savoir si vous aviez connaissance de monnaies émises en Septimanie (ateliers de Carcassonne, Narbonne, Razès, Béziers, Substantion, Nîmes, Uzès) et trouvées dans votre localité ou dans votre région.

Mlle M. P. (Montpellier, Hérault)

 66/16 (réponse dans la revue n° 66) : De quand date le calvaire de Boussières-en-Cambrésis ?

M. J.-M. L. (Caudry, Nord)

 66/17 (réponse dans la revue n° 67) : Qui pourrait m'indiquer où se situait le "dispensaire Paul BERSEZ" à Cambrai ?

M. C. P. (Cambrai, Nord)

 66/18 (réponse dans la revue n° 66) : Je m'interroge sur le parcours d'Hubert RICHARD, né vers 1764 à Lesdain, décédé le 1er février 1833 à Selvigny, qui était l'époux de Belly ou Brigitte MOGALET, née en Irlande selon son acte de décès à Selvigny le 9 février 1803 (20 pluviôse an XI). Leur fille Nansie est née selon l'acte de mariage du 19 juin 1823 à Wambaix le 10 septembre 1796 à "Kair" (qui n'existe pas), à côté de Dublin. Pourriez-vous m'expliquer cette présence d'Irlandais en France au début du XIXe siècle et me donner des pistes d'investigations ?

Mme J. H. (Monteux, Vaucluse)

 66/19 (réponse dans les revues n° 67 et 73) : Recherche tous renseignements sur l'histoire du "château RAMETTE" encore appelé "château Fénelon" ou "maison de campagne de l'abbaye de Saint-Sépulcre" situé au Nord-Ouest de Cambrai, entre le canal de Saint-Quentin et l'Escaut, à l'entrée de Proville.

M. C. P. (Cambrai, Nord)

 66/20 : Recherche pour achat deux cartes postales anciennes en couleur de l'éditeur J. GHISLAIN (fils de batelier et éditeur de cartes postales) représentant l'écluse de Vinchy (Les Rues-des-Vignes, commune de Crèvecœur), côté aval et les écluses d'Iwuy, côté aval. Vous pouvez me contacter pour propositions à eclusette@hotmail.fr ?

M. F. C. (Bléharies, Belgique)

 66/21 (réponse dans la revue n° 67) : Le 23 février 1789 est cité dans un acte de mariage du village de Cagnicourt (62) : Joseph PROFOS, imprimeur sur coton demeurant en la paroisse Saint-Vaast de Cambrai, fils de Jacob de MALKENDORFF, marchand de chevaux, à Soleure (Suisse) et de Barbe TSHANE. Faut-il n'y voir qu'un hasard ou y avait-il à l'époque une volonté de diversifier les types de production de tissus à Cambrai et pour cela favoriser l'immigration de "spécialistes" de l'impression du coton ? A-t-il laissé des descendants à Cambrai ?

M. P. L. (Rivière, Pas-de-Calais)

Questions de la revue n° 65 :

 65/1 : Recherche toutes personnes ayant connaissance d'œuvres du peintre Émile MUSSAULT (1846-1917), originaire de Niergnies et qui fut conservateur du Musée de Cambrai de 1898 à 1918.

M. G. B. (Cambrai, Nord)

 65/2 (réponse dans la revue n° 65) : Je suis à la recherche d'un missel réalisé, écrit et enluminé à Sebourg. La Fabrique de la Cathédrale de Cambrai commanda en effet en 1456 à Jehan PREVOST, chapelain de Sebourg, un missel pour grand autel en deux volumes. Je voulais savoir si ce missel existait toujours et son lieu de conservation.

Mme N. A. (Sebourg, Nord)

 65/3 (réponse dans la revue n° 65) : Connaissez-vous la rue des Carmes à Cambrai ? Cette rue aurait disparu. Mon aïeule, Mme KOFFNEHL Catherine, née à Colmar le 07/11/1777, est décédée à Cambrai le 23/11/1815 dans cette rue.

M. J.-P. B. (Colmar, Haut-Rhin)

 65/4 (réponse dans la revue n° 65) : Le Saumurois Joseph-François FOULLON (1715-1789) fut la première victime de la Révolution, puisqu'il fut pendu à une lanterne, en face de l'Hôtel de Ville de Paris, le 23 juillet 1789. Il avait été commissaire ordonnateur des guerres, affecté au Département du Hainaut, avec résidence à Valenciennes (1748-1756). Il sera plus tard Intendant des Armées du Roi et Intendant des Finances. Ayant épousé Isabelle-Eugénie-Joseph van der DUSSEN de KESTERGAT, fille de feu le châtelain d'Ath, en Belgique, il en eut quatre enfants. Le cadet, Honoré-Charles-Ignace FOULLON était né en 1756 (à Valenciennes ?). Il fut prêtre du diocèse de Cambrai, conseiller clerc en la Grand Chambre du Parlement de Paris, en 1780. En 1782, il appartenait à la loge "les Cœurs Simples de l'Étoile Polaire". Il sera vicaire général à Bourges et meurt le 3 août 1825. Pourriez-vous me donner des renseignements sur sa prêtrise au diocèse de Cambrai, paroisse desservie, ministère, dates ?

M. P. G. (Paris)

 65/5 : Dans ma généalogie, on trouve Mathieu de HENNIN, homme de fief de la Salle à Lesquin, né vers 1535 à Wavrin, marié à Catherine DUQUESNOY, fils de Guillaume de HENNIN et de son épouse inconnue. Or, sur Généanet, quelqu'un indique que Guillaume est le fils d'Adrien de HENNIN, écuyer, né vers 1482 à Cambrai, marié à Marie de BOUVIGNY. Or, dans le recueil de Jean DOFFE, cet Adrien de HENNIN a 13 enfants, mais pas de Guillaume... Qui pourrait me donner des précisions sur cette filiation ?

Mme M. F. (Saint-Sauveur-de-Montagut, Ardèche)

 65/6 (réponse dans la revue n° 65) : Ma grand-mère Georgette Marie DELIGNE (1924-1989) naquit et vécut à Cambrai. Elle émigra ensuite à Lake Butler, en Floride (États-Unis d'Amérique) après avoir rencontré mon grand-père John Foch CREWS (1919-1998) pendant la Seconde Guerre mondiale. Elle écrivit ensuite ses mémoires... Auriez-vous des informations sur son frère Pierre DELIGNE qui resta en France (et y eut de la descendance) et sur l'ascendance de ma grand-mère.

Mme L. T.-H. (Crews, Floride, États-Unis d'Amérique)

 65/7 (réponse dans la revue n° 65) : Je travaille sur un projet de formation en gastronomie. Je m'intéresse notamment à toute votre région. Autrefois, on préparait une salade de harengs avec de l'huile d'œillette, dans le Boulonnais. Or, aux environs d'Arras, il existait des moulins à huile, tout comme dans le Cambrésis. Il est souvent question de l'huile d'œillette du Cambrésis. De quoi s'agit-il et à quand remonte cette culture dans votre région ? Savez-vous si les artistes peintres utilisaient au XIXe, voire au XVIIIe siècle de l'huile d'œillette ?

M. C. L. (Vaison-la-Romaine, Vaucluse)

 65/8 (réponse dans la revue n° 65) : Pourriez-vous m'indiquer où il est possible de consulter les archives de l'Orphelinat van der BURCH de Cambrai ?

Mme S. N. (Paris 20e)

 65/9 (réponse dans la revue n° 65) : La Congrégation des Sœurs Augustines de Cambrai s'est jointe à la Congrégation des Sœurs Hospitalières en 2011. De ce fait, nous réunissons toutes nos archives et sommes à la recherche de documents pour préserver le patrimoine de la congrégation née à Cambrai en 1845. Nous recherchons notamment des relations écrites et photographies de l'ancienne Maison Mère des Sœurs Augustines, appelées à l'époque "Sœurs Hospitalières de Saint-Augustin". Nous sommes également intéressées par la présence des Sœurs Augustines à Cambrai depuis les origines et dans les villages environnants. Des sœurs étaient en effet présentes à I'hôpital Saint-Julien de Cambrai, à Crèvecœur, à Paillencourt. et au Grand Séminaire de Cambrai.

Sœur Édith Marie (Cambrai, Nord)

 65/10 (réponse dans la revue n° 65) : Mon père Adrien VITRANT a été abandonné très jeune par sa mère sur l'autel d'une église de Montay en 1918. L'amie de sa mère a commis le même geste le même jour. On a retrouvé plus tard les deux enfants. Celui ou celle qui se trouvait à côté de mon père a été adopté, mais pas mon père malheureusement. Auriez-vous la possibilité de retrouver grâce à des archives une trace de cette histoire ? Je recherche tous renseignements sur ma grand-mère paternelle, Élise VITRANT. Celle-ci est née à Neuvilly le 6 novembre 1877 et serait décédée à Montay. Après avoir déposé mon père à l'église, elle est rentrée chez elle pour une raison indéterminée et sa maison ou son immeuble aurait été bombardé le même jour que l'église (vers le 20 octobre 1918). Cela aidera peut-être des lecteurs à se souvenir de mon père déposé dans l'église de Montay ou tout au moins à se souvenir de cette histoire racontée par un parent. Je crois que ma grand-mère, Élise VITRANT, avait de la famille à Montay, mais je ne sais pas si elle y a vécu. VITRANT est son nom de jeune fille car elle était veuve lorsqu'elle a accouché de mon père, mais peut-être qu'un lecteur connaîtra ou aura des renseignements au sujet de son nom de femme mariée, PROST.

Mme T. V. (Argentan, Orne)

 65/11 (réponse dans la revue n° 65) : Dans l'ouvrage "Au fil de l'eau, au fil de siècles... Lesdain", il est mentionné en haut de la page 36 à partir de la troisième ligne que le moulin fut loué à Jean CARLIER originaire de Ligny en 1678-1683, à Thomas CARLIER le 31 mars 1698 pour 200 florins par an et à son petit-fils Thomas CARLIER les 13 avril 1757 et 15 novembre 1768 pour 160 mencauds de blé par an. Pourriez-vous m'indiquer la ou les sources de ces documents qui m'intéressent particulièrement. Mes ancêtres directs sont CARLIER Thomas x CAILLE Marie Thérèse, parents de CARLIER Michel Joseph x CACHEUX Magdeleine, parents de CARLIER Thomas x PROYE Augustine.

Mme C. A. (Cambrai, Nord)

 65/12 (réponse dans la revue n° 65) : Recherche renseignements sur le bombardement d'un train, entre Cattenières et Wambaix, le 27 juillet 1944.

Mme T. L. (Cambrai, Nord)

 65/13 : Recherche toutes informations sur un aérodrome allemand à Flesquières durant la Première Guerre mondiale.

M. J.-M. C. (Onnaing, Nord)

 65/14 (réponse dans les revues n° 66 et 67) : Je viens d'acquérir récemment une maison à Awoingt et la particularité de cette maison est qu'elle possède une cave extérieure. Cette cave est entièrement voûtée et construite en pierre calcaire blanche et l'escalier descend environ à 8 mètres sous terre : elle se termine par une petite salle avec 3 départs de souterrains. J'ai appris que ma maison était autrefois surnommée "la maison du Couvent" et la ruelle qui longe la maison est aussi appelée "ruelle du Couvent". Pourriez-vous m'aider à retracer le passé de cette maison et surtout de cette cave ?

Mme P. D. (Awoingt, Nord)

 65/15 (réponse dans la revue n° 67) : Je viens d'acquérir deux tableaux : l'un représente la salle capitulaire de l'abbaye de Vaucelles, l'autre représente un édifice avec une fresque contenant trois personnages : l'un nu au centre, entouré de deux démons (?). Pourriez-vous me confirmer quel est le lieu représenté dans ce deuxième tableau et quelle est la signification de cette fresque.

M. P. F. (Messemy, Aisne)

 65/16 (réponse dans la revue n° 66) : Recherche toutes informations sur l'histoire de la clinique Saint-Pol à Cambrai.

M. A. B. (Proville, Nord)

Questions de la revue n° 64 :

 64/1 (réponse dans la revue n° 65) : Depuis un moment, je m'intéresse à l'histoire de mon village d'Avesnes-les-Aubert. J'ai appris qu'en l'an 1120, Avesnes appartenait à la famille d'ESCLAIBES. Pourriez-vous m'en apprendre davantage sur cette famille car je ne dispose que de très peu d'informations.

M. K. L. (Avesnes-les-Aubert, Nord)

 64/2 (réponse dans la revue n° 64) : Je me permets de m'adresser à vous suite à des recherches sur la période de la Deuxième Guerre mondiale. Mon père, soldat français, était à la 1re D.L.M. et était affecté à la Compagnie d'Équipage de Ponts. Dans toutes ses lettres qu'il a adressées à ma mère, il parle toujours de Thun-Saint-Martin près de Cambrai. Ma question est la suivante : où pouvait-il séjourner ? Y avait-il une caserne ou un fort ayant abrité les soldats en 1940 ?

M. O. B. (Paris)

 64/3 (réponse dans la revue n° 64) : Mon arrière-grand-père paternel Émile DASSE (1846-1905) a terminé sa carrière de directeur de la succursale de la Banque de France à Cambrai en octobre 1887. Puis, il s'est retiré à Nevers. Il n'a en fait vécu à Cambrai qu'un peu plus d'un an. Je suis passé dimanche à Cambrai et j'ai pu prendre en photo ce qu'on appelle l'ancienne Banque de France au 9 boulevard FAIDHERBE. Compte tenu des destructions de la Guerre de 1914 et du style de l'immeuble, je me demande si c'est bien celui qui existait en 1887.

M. M. D. (Jarny, Meurthe-et-Moselle)

 64/4 (réponse dans la revue n° 64) : Recherche ascendance d'Éloi LEMERRE, de Bévillers, qui passa contrat de mariage le 16 février 1677 avec Anne MICHEL.

M. F. A. (Rosult, Nord)

 64/5 : Recherche la famille d'Henri Charles DROTTE, dont la femme était la sœur de ma grand-mère. Ils habitaient route d'Arras à Raillencourt le 8 mars 1906 où ils ont déclaré la naissance de leur fille Henriette Germaine... Or, je ne les trouve pas dans le recensement de 1906 de Raillencourt...

Mme M. L. (Pourrières, Var)

 64/6 (réponse dans la revue n° 64) : Je suis à la recherche d'informations sur mes arrières-grands-parents maternels, Brazi Gaston CARLIER, époux de Blanche Augustine ARDHUIN et qui ont eu une fille Angèle Clémence CARLIER née en 1910 ; la famille habitait alors route de Marcoing à Masnières et Brazi Gaston CARLIER était verrier, donc très probablement à la verrerie de Masnières. J'ai retrouvé trace de cet arrière-grand-père sur l'acte de mariage de sa fille en 1926 à Pierrefitte (93 actuellement, "Seine" à l'époque).

Mme P. A. (Aubigny-sur-Nère, Cher)

Questions de la revue n° 63 :

 63/1 (réponse dans la revue n° 63) : Je suis membre du Cercle d'Histoire local mais aussi Grand Historiographe de la Confrérie de Saint-Feuillien du Rœulx (région de Mons, Belgique). Nous préparons à ce sujet un prochain livret touristique... et sommes à la recherche de précisions sur Burchard, qui confirma la fondation de notre abbaye de Saint-Feuillien. Quelqu'un pourrait-il m'apporter des précisions sur l'évêque Burchard ainsi que sur ce Nicolas du ROEULX x ??? Y a-t-il un lien quelconque avec notre localité ?

M. B. H. (Le Rœulx, Belgique)

 63/2 (réponse dans les revues n° 63 et 66) : Jacques Joseph ALTAQUE. maître-maçon (qui épousa à la Madeleine, Cambrai, le 4 juillet 1747 Marie-Joseph CHARLET) est-il le fils de Charles ALTAQUE et de Catherine MOREAU, comme indiqué dans son acte de mariage ou le fils de Charles-Noël DAIX et de Catherine MOREAU, comme indiqué dans le tome XCVI de la Société d'Émulation de Cambrai (pages 99 et 135) : "fils de Charles Noël DAIX qui est cité en 1762, sera chargé 19 ans plus tard de la reconstruction de l'église de la Madeleine"... Que comprendre ? Catherine MOREAU, décédée à Cambrai Saint-Vaast le 27 janvier 1764, aurait-elle été mariée à DAIX avant d'épouser Charles ALTAQUE ?

M. M. F. (Saint-Sauveur-de-Montagut, Ardèche)

 63/3 (réponse dans la revue n° 63) : Voici la photo d'une cérémonie qui a probablement eu lieu au cimetière du camp de prisonniers de Chemnitz en Allemagne, durant la Première Guerre mondiale. J'y lis entre autre l'épitaphe de Léon COQUELET de Proville et de Joseph CARIER de Cambrai. Qui pourrait m'en dire plus sur ces deux personnes ?

M. J.-P. T. (Auberchicourt, Nord)

 63/4 (réponse dans la revue n° 63) : Recherche tous renseignements concernant Bernard, chanoine régulier de l'église de Saint-Aubert de Cambrai, qui serait devenu en 1135 le premier abbé de l'abbaye cistercienne de Signy (Ardennes). En est-il fait état dans les Chroniques de l'abbaye de Saint-Aubert de Lambert de WATTRELOS ?

M. T. F. (Signy-l'Abbaye, Ardennes)

 63/5 (réponse dans la revue n° 63) : Une petite recherche de généalogie familiale me conduit à vous contacter au cas où vous pourriez m'aider... Je tente de remonter la piste d'un de mes ancêtres, un WATREMETZ. En 1889, il était garde sémaphore à Saint-Benin, je perd sa trace ensuite et ne la retrouve qu'en 1899 à Mennevret dans l'Aisne où il est garde-barrière... d'où ma question. Quel était ce sémaphore dont je trouve aucune mention dans ce que j'ai lu, était ce un vrai sémaphore (la mer est loin !) ou un télégraphe... ou quelque chose en liaison avec une voie ferrée (le viaduc) dont le parcours est indiqué sur les cartes actuelles... Il passe à Saint-Benin et à Mennevret, mais j'ignore si à l'époque c'était déjà une grande ligne, ou ce que dans mon enfance on appelait une voie d'intérêt local, un tortillard... Auriez-vous une idée ?

M. J.-P. P. (Monmartin-sur-Mer, Manche)

 63/6 (réponse dans la revue n° 63) : Dans l'acte de mariage au Cateau-Cambrésis de mon ancêtre Pierre EGREZ (AIGREZ) le 6 juillet 1779 figure la mention de son père François "fermier en cette paroisse". Comme je ne trouve pas de trace de François, je souhaite savoir quel était le territoire de Saint-Martin. Serait-il possible de retrouver les noms des fermiers à cette date ?

M. J. H. (Monteux, Vaucluse)

 63/7 (réponse dans la revue n° 64) : Recherche l'origine du nom "rue du Coquiche" à Mœuvres. L'orthographe de ce nom de rue varie selon les époques : Cauquice (dans un cartulaire de 1614), Cuquiche, Coqueliche (dans le plan cadastral de 1824) et même "Kukiche". Signalons que l'on trouve également un lieu-dit "Coquiches" au territoire de Paillencourt, entre le canal de la Sensée et le chemin du Bois de Bray, sur le plan cadastral de 1825.

M. J.-M. F. (Maubeuge, Nord)

 63/8 : Y avait-t-il des prisonniers politiques belges enfermés dans "le camp des Allemands" de Saint-Druon ou dans un endroit dans les environs de Cambrai-Saint-Druon en 1944 ? Si oui, j'aimerais obtenir tous les renseignements possibles concernant ce lieu, la vie et l'hébergement de ces victimes de la guerre (éventuellement des photos). Je suis en particulier à la recherche de renseignements concernant un membre de ma famille, Monsieur de ROO Georges, né à Gand (Belgique) le 22/03/1924 et prisonnier (?) à Cambrai Saint-Druon du 10/07/1944 jusqu'au 31/08/1944 (date de la fuite des Allemands).

M. L. D. P. (Gand, Belgique)

 63/9 : Recherche toutes informations sur la centaine de réfugiés d'Avesnes-les-Aubert et la quinzaine de personnes de Cambrai-Ville qui ont évacués entre le 19 février et le 9 juin 1918 dans la commune de Presles, à 20 kilomètres de Namur, en Belgique. Où se sont-ils rendus après avoir quitté Presles ?

M. R. H. (Presles, Belgique)

 63/10 (réponse dans la revue n° 63) : Je me passionne pour les anciennes lignes de chemin de fer et habitant depuis peu dans le Cambrésis, plus exactement dans le très joli village de Thun-Saint-Martin, j'ai remarqué la présence d'une ancienne gare à Thun-l'Évêque, mais je n'arrive à trouver aucun renseignement concernant cette gare et la ligne concernée. Auriez-vous des informations à ce sujet ?

M. G. O. (Thun-Saint-Martin, Nord)

 63/11 (réponse dans la revue n° 63) : Je cherche à savoir jusqu'à quand la chocolaterie de Neuville-Saint-Rémy appartint aux CARDON et si cette chocolaterie fut rachetée par la famille IBLED. Si oui, à quelle date ? Les IBLED ont-ils gardé l'appellation "Cardon" sur ce site ou l'ont-il transformée en chocolaterie IBLED, commercialisant des chocolats IBLED ?

M. V. C.-S.-M. (Paris)

 63/12 (réponse dans la revue n° 64) : Recherche toutes informations sur le décès de mon grand-père qui a été retrouvé le 04/06/1920 noyé dans le canal de Saint-Quentin. Il avait disparu le 29/05/1920. Mon grand-père Arthur Émile LEFEBVRE était contremaître à la fabrique de chicorée et chocolat DUROYON et RAMETTE qui était basée 4 chemin de la Blanchisserie à Cambrai. Il était logé par son usine au 5 chemin de la Blanchisserie. Je suis allée à cette adresse avec une photo de l'époque pour essayer de retrouver cette maison. Il n'y a plus rien ni de la fabrique, ni de cette maison, savez vous à quelle époque ce quartier a été démoli ? Concernant les journaux, je n'ai trouvé qu'un avis de « Découverte d'un noyé » sur le Grand Écho du Nord en date du 06/06/1920 et sur L'Indépendant qui signale qu'on l'a retrouvé dans le canal... Connaissez-vous le prénom de Monsieur RAMETTE, directeur de la fabrique avec Monsieur DUROYON ? Je voudrais savoir s'il était de la famille de ma grand-mère Victoire HERLIN dont la mère était Marie RAMETTE ?

M. M. L. (Pourrières, Var)

Questions de la revue n° 62 :

 62/1 (réponse dans la revue n° 62) : Recherche ascendance d'Augustine LANTIER de Lesdain (?) qui épousa vers 1803-1804 (?) Jean Baptiste Joseph RÉMI. Ce sont les parents d'Eugénie Caroline RÉMI, née en 1812, qui épousa en 1834 Ghislain Jacques ALVAIN.

M. C. A. (Bourlon, Pas-de-Calais)

 62/2 : Je me suis mis en la tête de retaper un métier à tisser à main dont les structures de deux machines (les rouleaux, les grilles et d'autres éléments) existent toujours et qui étaient dans le grenier de ma maison de Lesdain. Mon père m'a dit il y a des années qu'il manquait des pièces que je compte éventuellement refaire faire. Ces deux métiers provenant des dommages de Guerre 14-18 appartenaient à mon grand-père qui était tisseur, comme beaucoup à l'époque et qui allait vendre ses toiles à ses clients, à Ligny à brouette et bien sûr à pied. Avant la Guerre de 14-18, il possédait de superbes métiers anglais, merveilles de mécanique qui lui ont été volés par les Allemands en 1917. Pourriez-vous me dire où je pourrais trouver des plans de ces vieux métiers à tisser à main en bois ? Ces métiers sont des appareils fabriqués par Marcel DELAMARE-DEBOUTTEVILLE 38 rue du bois de Boulogne à Neuilly-sur-Seine (Métiers à tisser à main de tous modèles) et datent de 1925 environ. Mon grand-père a dû les utiliser environ six à sept ans car il est décédé en 1932.

M. C. C. (Saint-Saulve, Nord)

 62/3 (réponse dans la revue n° 62) : Recherche ascendance d'Édouard LERICHE, né vers 1816 à Crèvecœur, qui épousa le 25 janvier 1849 à Oussoy en Gâtinais (Loiret) Marie-Madeleine MAISON.

Mme O. L.-L. (Varennes-Vauzelles, Nièvre)

 62/4 (réponses dans les revues n° 62 et 67) : J'ai trouvé dans les archives de Cambrai le décès d'Alexandre CAULIER, le 30/08/1737 à Sainte-Croix (AD59 / 5Mi12R008, S 1712-1721, p. 231 ). Il y est dit "Maistre du Poulche d'Or". J'ai trouvé dans votre revue n° 19, un article sur la rue de l'Arbre d'Or où sont citées les différentes maisons portant le mot "Or" dans leur enseigne. L'une d'elle est dite "Poulche d'Or" : peut-on raisonnablement en déduire qu'il s'agit de celle trouvée dans l'acte ? Que veut dire "Poulche" ? Savez-vous quel était le commerce dans cette maison en 1737 ?

Mme M.-H. S. (Arras, Pas-de-Calais)

 62/5 (réponse dans la revue n° 62) : Dans le cadre de l'élaboration d'un "album de Cambrai" à usage familial, nous aimerions obtenir des informations sur les lieux suivants : la grange dîmière, l'abbaye des Récollets et "la Goutte de Lait".

Mme A. C. (Cambrai, Nord)

 62/6 (réponse dans la revue n° 62) : Je suis habitant de Neuville-Saint-Rémy et je souhaitais savoir quelle était l'origine du nom de ma rue : rue du comte d'Artois. Est-ce en mémoire du comte d'Artois, Charles X, ou en mémoire du rattachement de Cambrai au comté d'Artois, bien plus tôt dans l'histoire ?

M. C. L. (Neuville-Saint-Rémy, Nord)

 62/7 (réponse dans les revues n° 62 et 64) : Je viens de relire avec intérêt l'article de la revue n° 31 au sujet de la porte Saint-Ladre à Cambrai. D'après les illustrations de l'article, la partie supérieure de la porte qui existait encore au début du XXe siècle a maintenant disparu. Les ruines aujourd'hui enfouies près du Palais des Grottes ne comporteraient plus que l'arcade du passage, soit une moitié environ de la hauteur totale visible sur les anciennes photos. Je suis curieux de savoir à quelle époque ces ruines ont été arasées.

M. M. B. (Saint-Jean-de-Terre-Neuve, Canada)

 62/8 (réponse dans les revues n° 63 et 64) : Je vous contacte aujourd'hui car je sais que mon grand-père a rencontré le curé de Montay, Émile GLORIEUX, dont il est question dans le récit sur la première Guerre Mondiale de Nicolas DHENNIN (revue n° 6). J'évoque cette rencontre dans mon récit et je suis à la recherche d'une photographie d'Émile GLORIEUX qui pourrait illustrer mon propos.

M. D. G.-B. (Angers, Maine-et-Loire)

Questions de la revue n° 61 :

 61/1 (réponse dans la revue n° 61) : Voici la photographie d'une ancienne ferme du village d'Abancourt qui aurait servi de modèle à Adolf HITLER pour réaliser une aquarelle, lorsqu'il stationna dans ce village en 1914-1918. Serait-il possible d'identifier le lieu, la rue et à qui cette maison appartenait ?

Ferme d'Abancourt
Photo extraite d'un ouvrage allemand montrant une ferme du village d'Abancourt.

Aquarelle d'Adolf HITLER
Aquarelle représentant un portail de ferme d'Abancourt réalisée par Adolf HITLER pendant la Première Guerre.

M. M. L. (Cambrai, Nord)

 61/2 (réponse dans les revues n° 61 et 62) : Recherche des informations sur l'ascendance de Marie Anne DELBART, née le 24/03/1759 à Ligny-en-Cambrésis, décédée après 1813, mariée le 13/06/1796 à Ligny-en-Cambrésis avec Louis Bernard Joseph LASSON. Elle est la fille de Michel (naissance et mort ?) et de Jeanne-Louise PLUCHART (naissance et mort ?).

M. N. G. (Thonon-les-Bains, Haute-Savoie)

 61/3 : Recherche tous renseignements sur la 6e batterie du 2e groupe du 404e RADCA. Ce 2e groupe était composé de 3 batteries + 1 État-Major. 2 batteries + 1 État-Major étaient à Montigny-en-Ostrevent et 1 batterie à Awoingt. Je recherche à identifier où était la 6e.

M. P. G. (Awoingt, Nord)

 61/4 (réponse dans la revue n° 61) : Existe-t-il une famille de QUELLERIE en Cambrésis ? Serait-il possible d'obtenir des informations sur celle-ci ? Qui est Mirmelene de COURCHELETTES, dite également "Mirmelene de QUELLERIE" ? Y a-t-il un rapport avec cette famille ? À Caudry, on peut lire une inscription avec le nom Nicolas de QUELLERIE. Qui était cette personne ?

M. M. de Q. (Bergschenhoek, Pays-Bas)

 61/5 (réponse dans la revue n° 61) : En novembre 1943, quatre personnes de Cambrai furent impliquées dans une affaire de réseau clandestin : le Commissaire PAOLI, M. Léon DHORDAIN (de Cauroir), M. Jean-Baptiste TOUCHARD (de Neuville-Saint-Rémy) et un abbé LEFEBVRE. Auriez-vous des informations concernant cette affaire ou existerait-il une publication à ce sujet ? Votre revue n° 31 contient un article sur l'abbé LEFEBVRE. S'agit-il du même ?

M. F. J. B. (Cologne, Allemagne)

 61/6 (réponse dans la revue n° 61) : Dans un acte du tabellion de Cambrai, référencé sous la côte 2E26-9 des Archives Départementales du Nord, l'un de mes ancêtres, CHEVALIER Martin est dit "Quatre hommes". Pourriez-vous me dire en quoi consistait cette fonction qui semble s'inscrire hiérarchiquement dans la communauté juste après les échevins. L'un de ses fils CHEVALIER Joseph, dans un autre acte, était lui aussi dit "échevin" et "quatre hommes".

M. F. C. (Raismes, Nord)

 61/7 (réponse dans la revue n° 61) : Recherche renseignements concernant l'ascendance de Joseph Onulphe DEHORNE, né le 8 février 1679 à Cambrai, décédé au même lieu le 20 mai 1728, époux de Marie-Bonne de BARALLE. Il était le fils de Pierre DEHORNE décédé à Cambrai le 12 avril 1703 et époux en premières noces de Marie-Anne BROUSSE, décédée paroisse Saint-Aubert à Cambrai ("accablée sous les ruines de sa maison") le 22 avril 1682. Pierre DEHORNE s'est remarié en secondes noces à Anthoinette LAGNEAU (Contrat de mariage du 13/10/1683 à Cambrai).

M. F. A. (Rosult, Nord)

 61/8 (réponse dans la revue n° 63) : Je vous contacte à propos d'une célébration qui avait été organisée dans l'église de Villers-Guislain le 7 mars 1937, pour rendre hommage à Jean MERMOZ. L'église avait été superbement décorée avec un avion et des portraits de Jean MERMOZ. Il a été pilote d'avions POTEZ et j'aurai aimé trouver des photos et témoignages concernant cet événement peu banal, afin d'en faire une évocation lors de notre exposition.

Mme A. A. (Albert, Somme)

 61/9 (réponse dans la revue n° 62) : Il existe au fonds local de la bibliothèque de Cambrai un "historique de l'abbaye de Vaucelles" rédigé par l'abbé CHARLIER en 1915 dans le cadre d'un concours de la Société d'Émulation de Cambrai. Qui est cet abbé CHARLIER ?

Mme A. F. (Cambrai, Nord)