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Questions des lecteurs (revues n° 81 à 90)

Autres questions parues : revues n° 1 à 10, 11 à 20, 21 à 30, 31 à 40, 41 à 50, 51 à 60, 61 à 70, 71 à 80 et 91 à 100

Questions de la revue n° 90 :

 90/1 (réponse dans la revue n° 90) : Je recherche des informations sur le seigneur VILLERS-AU-TERTRE MASNIRES qui fut de 1785 à 1789 seigneur de Noulette (commune d'Aix-Noulette) avant d'émigrer. Il serait mort dans le Hainaut.

M. D. L. (Aix-Noulette, Pas-de-Calais)

 90/2 (réponse dans la revue n° 90) : Recherche toutes informations concernant le ressortissant italien Bemardo CACCIA qui aurait été tué le 3 septembre 1918 avec 8 Britanniques entre Noyelles-sur-Escaut et Crèvecœur-sur-l'Escaut. Les corps auraient été inhumés au "Cemetery Church Yard" de Crèvecœur-sur-l'Escaut.

M. J.-M. B. (Crèvecœur-sur-l'Escaut, Nord)

 90/3 (réponse dans la revue n° 90) : Je suis à la recherche de l'ascendance de mon ancêtre Nicolas COUPEZ (1659-1710), époux de Michelle NIEPPE, domestiques de la baronne de LA PREZ, seigneurs de Noyelles-sur-Escaut.

M. L. D. (Jenly, Belgique)

 90/4 (réponse dans la revue n° 90) : Qui pourrait me donner des informations sur l'auberge située autrefois 28 place au Bois à Cambrai tenue en 1850 par Louis GUIN et devenue une imprimerie dans l'annuaire Ravet-Anceau de 1904 ?

Mme A.-M. L. (Cambrai, Nord)

 90/5 : Recherche photographie de Victor Jules Druon CIRIER, député de la 2e circonscription de Cambrai de 1879 à 1885, sénateur de 1888 à 1890, né le 16 avril 1823 au Cateau, décédé le 20 octobre 1890 à Paris. Fils d'un tisseur de coton et filateur de laine, Jules CIRIER est élève du lycée Henri IV à Paris, puis poursuit des études de droit dans la capitale. Inscrit au barreau de Cambrai, il en devient le bâtonnier en 1859. Avocat d'affaires, il figure, dès 1857, parmi les membres de la chambre cambrésienne des arts et manufactures. Le conseil d'administration des mines d'Escarpelle le choisit comme vice-président. Conseiller municipal de Cambrai de 1860 à 1890, il entre au conseil général en 1877. La Chambre des députés lui ouvre ses portes à la faveur d'une élection partielle et Jules CIRIER siège dans les rangs de la Gauche républicaine. Membre de nombreuses commissions, il est l'auteur de plusieurs rapports. Réélu en 1881, il est battu lors du scrutin de 1885. Après un intermède de 3 ans, les grands électeurs l'envoient siéger au Sénat. Jules CIRIER n'exerce qu'une faible activité dans la Haute Assemblée.

Mme D. L. (Alyena, Pyrénées-Orientales)

 90/6 (réponse dans la revue n° 90) : Je recherche des informations sur les personnes déplacées pendant la Première Guerre mondiale. Mon arrière-grand-mère Maria DEHON qui habitait à Paillencourt s'est retrouvée à Foix en Ariège. C'est son fils, mon grand-père, qui m'a raconté cet épisode : blessé au début de la guerre, il est allé voir sa mère à Foix pendant sa convalescence. Existe-t-il une liste des personnes déplacées dans le Cambrésis ? Comment sont-elles parties et comment sont-elles revenues ?

M. E. D. (Cambrai, Nord)

 90/7 (réponse dans la revue n° 90) : Je suis en possession d'un acte de mariage du 22 février 1707 (Catillon-sur-Sambre) entre Gilles MAIRESSE de la paroisse de Mazinghien (âgé de 30 ans) et Anne joseph LESNE, ainsi qu'un acte de décès de 1744 concernant Gilles MAIRESSE dont je recherche l'ascendance. Je souhaite être orientée afin de trouver toute documentation concernant Catillon-sur-Sambre et Mazinghien au XVIIe siècle. J'ai lu que ce hameau était appelé Robercourt jusqu'au XVIIe siècle, mais je ne le trouve pas sur des reproductions de carte de cette époque. De plus, dans l'église de Catillon-sur-Sambre, se trouve notamment un vitrail (donateur A. MAIRESSE). Il semblerait qu'il s'agisse d'Auguste MAIRESSE (mon ascendant direct) né à Catillon-sur-Sambre le 1er janvier 1752, époux de Catherine DESOBLIN.

Mme R. J. (Cartignies, Nord)

 90/8 (réponse dans la revue n° 91) : Recherche toutes informations sur Robert de GENÈVE et notamment sur la période où il fut évêque de Cambrai (1368-1371).

Mme A. C. (Annecy, Haute-Savoie)

Questions de la revue n° 89 :

 89/1 (réponse dans la revue n° 89) : Qui pourrait me dire qui est Auguste CRESPIN, qui fit bâtir au XIXe siècle par M. de BARALLE, architecte, la maison de maître située au 35 de la rue des Capucins ?

M. D. L. (Cambrai, Nord)

 89/2 (réponse dans la revue n° 89) : Je possède cette horloge qui porte l'inscription L. LAVALLÉE MASNIÈRES. Pourriez-vous me dire de quand elle date et qui était ce L. LAVALLÉE ?

M. D. G. (Les Rues-des-Vignes, Nord)

 89/3 (réponse dans la revue n° 89) : Recherche ascendance de Frédéric DASSONVILLE, chevalier de la Légion d'honneur, né le 23 mai 1865 à Masnières.

M. L. D. (Boulogne-Billancourt, Hauts-de-Seine)

 89/4 (réponse dans la revue n° 90) : Recherche ce qu'est devenue Zélie Pulchérie LEDUC, née le 22 février 1883 à Cagnoncles, fille d'Edmond LEDUC, maire de Cagnoncles entre 1886 et 1904 et qui résidait au 49 rue Mendresse (rue Caboche). Est-ce elle qui a repris la ferme ? J'essaie de retrouver l'emplacement de la ferme LEDUC car les numéros de maison actuels ne correspondent plus.

Mme N. D. (Proville, Nord)

 89/5 (réponse dans la revue n° 89) : Petit-fils de Monsieur Camille CRAS, résistant au Cateau-Cambrésis, puis soldat de la 2e D. B., ancien membres des anciens combattants de Troisvilles, je me permets de vous contacter pour une demande d'information concernant Jean CARPEZAT. Dans les quelques pages de mémoires que notre grand-père nous a laissées, il est en effet à plusieurs reprises question de son ami Jean, notre grand-père expliquant d'ailleurs les circonstances de sa mort à la libération dans ces mêmes mémoires. Ils étaient tous les deux à la J.O.C. et mon grand-père était président d'un de ses comités en 1939. Je constate d'ailleurs que vous avez affiché des photographies de résistants tués à la libération du Cambrésis dans le cadre des 10 ans de l'association et je pense que Jean CARPEZAT y figurait. Je suis à ce titre à la recherche d'une ou plusieurs photographies de lui, de la meilleure qualité possible, afin de faire réaliser un portrait par un ami dessinateur - de toute information sur Jean CARPEZAT et sur mon grand-père Camille CRAS.

M. R. C. (Valenciennes, Nord)

 89/6 (réponse dans la revue n° 89) : Recherche informations concernant Henri PONTHIEUX de Marcoing qui fut fait prisonnier par les Prussiens en 1870-1871. Selon la légende familiale, il aurait fait le chemin à pied depuis Marcoing jusque Königsberg. Connaissez-vous des travaux sur le passage des Prussiens dans le Cambrésis ?

M. P. B. (Paris)

 89/7 (réponse dans la revue n° 89) : Je me permets de vous contacter afin de savoir si vous avez des documents ou photographies concernant l'ancien château de Cantaing-sur-Escaut ? Nous avons un futur projet pour 2021 avec la commune et des artistes street-art : réaliser une fresque graphique sur un pan de mur disponible - rue du Château, dans le but de retracer l'histoire de ce château avec des habitants.

Mme C. L. (Marcoing, Nord)

 89/8 : J'ai découvert cette carte postale sur le site Delcampe. S'agit-il bien des écluses du Bosquet à Honnecourt ? Si oui, je n'arrive pas à la situer dans le temps, et je suis vraiment étonné par le nom de l'éditeur FRÈRE-CANON (non répertorié dans la liste des éditeurs de cartes postales français).

M. N. D. (Lomme, Nord)

 89/9 : Recherche ascendance de Jean-Baptiste DELABY, marié entre 1773 et 1783 à Neuville-Saint-Rémy à Marie-Claire WIBAUT.

Mme L. E. (Valenciennes, Nord)

 89/10 : Je suis à la recherche des pièces archéologiques découvertes par les abbés DEHAISNE et BONTEMPS qui ont écrit l'histoire d'Iwuy. Ils mentionnent des poteries et autres pièces de monnaies découvertes près d'une villa gallo-romaine (à la fin du XIXe siècle), mais on ne sait plus (tout au moins dans le village d'Iwuy) où ces précieux témoignages du passé ont été stockés.

M. M. L. (Iwuy, Nord)

 89/11 (réponse dans la revue n° 90) : Pourriez-vous me dire à quelle date fut construite l'habitation sise 51 rue d'Arras à Raillencourt-Sainte-Olle ? Il semble que César VITRANT a acheté cette maison déjà construite. Ils habitent à cette adresse lors du recensement de 1906. Ils ont emménagé au 51 route d'Arras, à l'époque était le numéro 5, entre 1895 et 1906.

Mme C. B. (Montbarla, Tarn-et-Garonne)

Questions de la revue n° 88 :

 88/1 (réponse dans la revue n° 88) : Mes ancêtres Mathieu DANJOU, Jean de LIMAL et Robert DANJOU ont été prévôts d'Inchy de 1582 à 1645. Quel est le rôle du prévôt d'Inchy ? Est-il un prévôt royal (peu probable au vu de la petite taille d'Inchy entre Cambrai et le Cateau), un prévôt seigneurial (donc lié au baron d'Inchy ou au bailli de Cambrai ?) ou encore ecclésial (lié à l'archevêque de Cambrai qui est le seigneur temporel de Cambrai, exilé pendant l'ère française 1580-1595) ?

M. E. D. (Roye-sur-Matz, Oise)

 88/2 (réponse dans la revue n° 88) : On trouve en ligne une biographie par Sandrine PICAUD de messire Thomas-Auguste LEROY de GRANDMAISON, chevalier de Saint-Louis, maréchal des camps et armées du roi, gouverneur de Cambrai (1715-1801) et de nombreuses mentions documentaires le concernant dans la sénéchaussée de Saumur. Mais, en quoi consistaient ses fonctions de gouverneur de Cambrai ?

M. P. G. (Paris)

 88/3 (réponse dans la revue n° 88) : Mon arrière-grand-père Lazare LEVY et ses fils possédèrent une grande usine de tissage, boulevard Faidherbe à Cambrai, jusqu'au lendemain de la Seconde Guerre mondiale. Celle-ci s'appelait "les Tissages de Cambrai". Pourriez-vous me communiquer des renseignements sur cette société. Il habitait Neuville-Saint-Rémy. Pourriez-vous m'indiquer où ?

M. M. G. (Louveciennes, Yvelines)

 88/4 (réponse dans la revue n° 88) : Recherche informations sur les origines prussiennes de mon ancêtre Jean-Baptiste RIDRACH, né vers 1786 à Lôbnitz (Pologne prussienne), soldat du régiment de BLUCHER arrivé à Fontaine-au-Pire lors de l'invasion des Prussiens en 1814, décédé le 26 janvier 1856 à Fontaine-au-Pire.

Mme N. D. (Proville, Nord)

 88/5 : Il y a quelques mois Sotheby's a mis en vente un livre d'heures réalisé en Hainaut dans le troisième quart du XVe siècle dont je souhaiterais identifier le commanditaire. Un folio comporte les armoiries d'un couple. La litanie des saints à évoquer sont tous ceux dont les reliques se trouvent aujourd'hui dans la collégiale Saint Ursmer à Binche (Hainaut, Belgique) et se trouvaient jusque 1408 dans la collégiale Saint Ursmer de Lobbes (Hainaut, Belgique). Je crois avoir identifié les armoiries du mari, il s'agirait d'un membre de la famille LEUCHTENBERG de Bavière. Le lion de sable en chef serait une brisure des armes de la famille. Les armoiries de l'épouse sont d'argent à trois tourteaux de gueules au lambel à trois pendants de sable en chef. Ces armoiries se retrouvent plus d'une fois dans nos contrées, je fais l'hypothèse que l'épouse est hainuyère et je trouve que les seigneurs d'Amerval arboraient notamment ces armoiries. On peut imaginer qu'un LEUCHTENBERG ait épousé une femme de la famille des seigneurs d'Amerval ? Aubert de BAVIÈRE a épousé la dernière descendante de la famille des AVESNES en 1389 et Isabeau de BAVIÈRE a épousé Charles VI en 1385. Auriez-vous des informations sur un éventuel mariage d'une AMERVAL au XVe siècle ?

M. S. G. (Binche, Belgique)

 88/6 (réponse dans la revue n° 88) : Qui pourrait m'identifier ces jetons provenant de sociétés cambrésiennes ?

M. D. L. (Cambrai, Nord)

 88/7 : Je me permets de vous contacter car je souhaiterais avoir une photo ou, encore mieux, un plan de l'église de Sainte-Olle, détruite en 1995. J'effectue actuellement des recherches concernant des vitraux signés LORIN, Chartres, 1933, qui devaient être installés dans cette édifice.

M. T. R. (Digny, Eure-et-Loir)

 88/8 (réponse dans la revue n° 88) : J'ai découvert qu'un de mes ancêtres était Ghyselbrecht (Gilbert en français) de SAINT-HILAIRE, qui vivait à la fin du XVe siècle. Ghyselbrecht habitait à Bruges, mais lui ou son père venaient probablement des environs de Cambrai. En novembre 1471, un certain Guyot de SAINT-YLAIRE (fils de Guy), originaire de Cambrai, devenait bourgeois de la ville de Bruges. Et en juin 1492 un Walerand de SAINT-YLAIRE (fils de Guy), originaire de Saint-Hilaire-lez-Cambrai, devenait aussi bougeois de Bruges. En mars 1514, Willem (Guillaume en français) de SAINT-HILAIRE [ce Willem était probablement le fils de Ghyselbrecht cité auparavant) était un des tuteurs de Thibault et Ghysekin, les deux enfants mineurs de Ghyselbrecht (il ne s'agit pas du Ghyselbrecht prédit) chez Barbara de CALUWE. Ce Ghyselbrecht (marié à B. de CALUWE) possédait entre autres la seigneurie de Saint-Hilaire-lez-Cambrai (seigneurie ou fief tenu de l'éveque de Cambrai). Il était donc seigneur de Saint-Hilaire. Comme fils aîné ledit Thibault devenait le nouveau seigneur de Saint-Hilaire. Existe-t-il des articles ou ouvrages sur cette famille de SAINT-HILAIRE ?

M. G. T. (Bruges, Belgique)

 88/9 (réponse dans la revue n° 88) : Pourriez-vous me dire si les armoiries de la commune de Flesquières sont "d'azur à trois étoiles d'or", ainsi que l'indique Jean LE CARPENTIER (1664), ou "d'or à la bande de sable" qui auraient été les armes de la famille de GONNELIEU qui aurait possédé la seigneurie de Flesquières de 1060 à 1364, ainsi que l'indique le chanoine Théodore LEURIDAN ?

M. A. D. (Flesquières, Nord)

 88/10 (réponse dans la revue n° 88) : J'ai lu que Jean II de LUXEMBOURG de Ligny, seigneur de Beaurevoir (1392-1441), qui avait vendu Jeanne d'ARC aux Anglais, avait été enterré dans la cathédrale de Cambrai après sa mort intervenue à Guise en 1441. La cathédrale de Cambrai ayant été détruite pendant la Révolution, peut-on penser que ce tombeau a pu être transféré dans l'actuelle cathédrale ?

M. M. L. (Iwuy, Nord)

Questions de la revue n° 87 :

 87/1 : Chercheur associé à l'université de Mons-Hainaut, je mène une recherche sur "Le traitement et les filières d'évasion des prisonniers de guerre allemands en Belgique, après le 2 septembre 1944". J'ai, dans ce cadre, été naturellement amené a m'intéresser aux structures similaires qui ont pu voir le jour dans les pays limitrophes de la Belgique et sur lesquelles les "réseaux" belges ont pu s'appuyer ou qu'ils ont pu renforcer ; le phénomène des évasions n'étant, évidemment, pas "limité" à notre pays... et celui-ci route quasi-obligée (ou, en tout cas, de fait très utilisée par ou pour un certain nombre d'évadés des camps établis en France, notamment). Dans "La Libre Belgique" du 28/03/1946, il est fait état de la "découverte" de deux P.G.A. en fuite d'un camp belge (de La Louvière en l'occurrence) qui avaient trouvé refuge au château de Morenchies... Qui pourrait m'aider à y voir à ce propos un peu plus clair et me permettre, avant toute chose, de mettre un nom sur ces deux individus.

M. E. D. (Mons, Belgique)

 87/2 (réponse dans la revue n° 87) : J'ai découvert cette année que mes ancêtres issus de la famille du cirque étaient du Cateau-Cambrésis avec Antoine Joseph BERTRAND (fils de cordonnier), né le 19 décembre 1789 au Cateau-Cambrésis, artiste d'agilité, artiste acrobate, époux le 4 juin 1829 à Paris (douzième arrondissement) de Guillemette Henriette GILET, née en 1794, écuyère, artiste acrobate. Qui pourrait m'en dire plus sur ce couple et sur sa descendance ?

Mme J. B. (Ambert, Puy-de-Dôme)

 87/3 (réponse dans la revue n° 87) : Recherche toutes informations sur ce tank de la bataille de Cambrai exposé sur la place du marché de Leipzig.

M. J.-C. L. (Bangui, Centrafrique)

 87/4 : Qui pourrait m'en dire plus sur cette photo provenant des Archives Nationales des États-Unis (Maryland) ? Il m'a fallu un peu de temps pour me localiser. À l'extrême gauche, on peut voir le clocheton du collège municipal (Paul Duez) et la Croix Rouge du toit. Nous sommes donc dans la cour intérieure. Mais, d'où venaient ces wagons ? "Zug B.S.K.K." veut dire "Bayerische Sanitäts Kraftwagen Kolonne", soit "Convois Bavarois d'Ambulance". "ESKAGA" est le nom de cette colonne sanitaire (1914-1916). Il s'agit de la Croix-Rouge allemande qui transporte autant les siens que les soldats anglais. Quelqu'un pourrait-il m'en dire plus sur cette étrange photographie ? Ce qui est étonnant, c'est la voie de chemin de fer à cet endroit.

M. K. P. (Cambrai, Nord)

 87/5 : J'ai découvert qu'en 1914-1918 plusieurs prisonniers civils du Cateau-Cambrésis avaient participé dans ma commune de Remilly-Aillicourt (Ardennes) à la construction d'une voie ferrée de 42 km pour alimenter le front de Champagne. Disposeriez-vous localement d'informations sur ce sujet ?

M. F. D. (Remilly-Aillicourt, Ardennes)

 87/6 : Qui pourrait me donner des informations sur cette médaille ? De quelle entreprise cambrésienne s'agit-il ?

M. D. L. (Cambrai, Nord)

 87/7 (réponse dans la revue n° 87) : Qui pourrait me donner plus d'informations sur LOUVET- TAISNE, de Bertry, qui édita en 1868 un ouvrage intitulé "Le Trésor de la Vie" mentionné par la Société d'Émulation de Cambrai. Qui est-il ? Quel est son prénom ? Ses ancêtres ? Il y a peu d'informations sur ce fascicule.

M. F. A. (Oullins, Rhône)

Questions de la revue n° 86 :

 86/1 (réponse dans la revue n° 86) : Recherche toutes informations sur la ferme de mon grand-père M. Maurice MARY-BEDORET à Crèvecœur-sur-l'Escaut, entre 1911 et 1926.

M. J.-P. M. (Saint-Junien, Vienne)

 86/2 (réponse dans la revue n° 86) : Pourriez-vous me dire à quelles dates les évêchés de Cambrai et d'Arras se séparèrent ?

M. C. C. (Maing, Nord)

 86/3 (réponse dans la revue n° 86) : Je possède une arbalète ancienne signée "Jules LAZON fils Cambrai au Petit-Fontaine". Je pense qu'elle date de la fin du XIXe siècle. Quelqu'un pourrait-il m'en dire davantage ?

M. B. G. (Vieux-Condé, Nord)

 86/4 : Recherche toutes informations sur mon ancêtre Charles-Henri DEUDON, né vers 1828, qui aurait été déposé à l'hospice civil de Cambrai entre 1828 et 1833. Vous serait-il possible de m'aider dans les recherches concernant l'abandon (25 août 1833 ?) et l'éducation chez une nourrice en tant qu'apprenti. La tombe de Charles-Henri DEUDON au cimetière de la porte Notre-Dame (concession 27 287, carré J3/7 n° 31 ) est pour moi des plus surprenantes. Quelqu'un pourrait-il me donner la signification de cette tombe tombale ? Son père pouvait être carrier ?

Mme C. B. (Montbarla, Tarn-et-Garonne)

 86/5 : Est ce qu'un lecteur de la revue pourrait identifier cette chocolaterie ? J'ai trouvé cette référence dans "Gallica", mais les archives et autres sources n'en font aucune mention !

M. J.-M. B. (Les Rues-des-Vignes, Nord)

Questions de la revue n° 85 :

 85/1 (réponse dans la revue n° 85) : Recherche toutes informations sur la famille "de GASCOIGNE" originaire du Yorkshire (Grand-Bretagne) et installée à Cambrai au XVIIe siècle.

M. C. B. (Calais, Pas-de-Calais)

 85/2 (réponse dans la revue n° 86) : Recherche toutes informations sur ce soldat allemand photographié à Crèvecœur-sur-l'Escaut le 12 février 1942.

M. J.-M. B. (Crèvecœur-sur-l'Escaut, Nord)

 85/3 : Dans le cadre d'un projet de restauration du calvaire de Cagnoncles, je souhaiterais approfondir mes connaissances à propos de la personnalité de l'abbé Michel DHAUSSY son concepteur, curé de Cagnoncles de 1803 à 1845. À ce jour, mon argumentaire s'appuie sur les informations issues de "la Revue du Nord" de septembre 1949, de "l'histoire de Cagnoncles" de Monsieur BONTEMPS, du site Persée et, majoritairement, d'une biographie extraite de l'ouvrage imprimé en 1847 décrivant les "Biographies des prêtres du diocèse de Cambrai morts depuis 1800 qui se sont distingués par leurs vertus, leurs talents et leur zèle". Le calvaire de Cagnoncles est abrité par une magnifique chapelle reflétant les qualités exceptionnelles et la grande autorité déployées au sein du diocèse d'un personnage hors du commun. Si, de nos jours, les natifs du village se souviennent de l'abbé Michel DHAUSSY surnommé l'enfant sage, ils ont oublié qu'il était un éminent guide toujours sollicité par les plus hauts dignitaires du diocèse. Ses actions et ses avis influençaient la conduite de l'ensemble de ses confrères. De ce fait, je pense que la réhabilitation des mérites de Michel DHAUSSY contribuera à la prise de conscience du caractère exceptionnel du monument. Je souhaiterais compléter les écrits par la dimension visuelle à partir d'une description physique plus précise permettant de créer une esquisse ou mieux, de découvrir son portrait ; et, au-delà des renseignements puisés dans sa biographie, appréhender la dimension religieuse de l'abbé, qualifié d'"enfant sage" en raison de sa précocité, de saint homme dans le cadre de ses actions au sein du village mais aussi de curé d'Ars du Cambrésis. Les quelques traits caractéristiques connus de l'abbé s'avèrent, actuellement, insuffisants ; à savoir : sa vivacité, sa conversation simple et gaie, un sourire toujours aux lèvres, une douceur constante émaillée, brièvement, par des répliques parfois cinglantes à l'encontre de propos ne lui convenant pas. En 1834, à 71 ans, Michel DHAUSSY, homme digne aux yeux pétillants, arbore une belle tête blanche et une démarche solennelle...

M. E. P. (Cagnoncles, Nord)

Questions de la revue n° 84 :

 84/1 (réponse dans la revue n° 84) : Recherche informations sur l'origine du nom "rue de la Grande Justice à Cambrai".

Mme B. L. (Cambrai, Nord)

 84/2 : La Banque de France créée par BONAPARTE avait l'autorisation d'ouvrir des succursales en province en 1808, mais elle était réticente. Aussi, lors de son voyage dans le Nord, l'Empereur Napoléon Ier écrit : "La Banque ne remplit pas son titre et reste "Banque de Paris" au lieu d'être "Banque de France" [...] pourquoi n'escompte-t-elle pas à Valenciennes, à Cambrai, à Saint-Quentin, à Lille" et d'ajouter qu'elle n'a qu'un correspondant à Saint-Quentin, mais personne à Valenciennes (lettre du 5 mai 1810). Qu'en est-il à Cambrai ?

M. P. G. (Paris)

 84/3 : Recherche informations sur l'origine du nom "rue des Nattes" à Cambrai.

Mme C. D. (Cambrai, Nord)

 84/4 : Existerait-il un article concernant la création de l'enclave de Mœuvres/Boursies/Doignies en 1790 ? Un découpage totalement incohérent qui ne peut s'expliquer que, par une erreur, par des gens qui connaissent mal le territoire pourquoi pas, ou bien, par un compromis, résultat d'un rapport de force au sein du comité entre des personnes qui plaident pour que Mœuvres/Boursies/Doignies soient avec Cambrai et des personnes qui plaident pour qu'Havrincourt et Graincourt-lès-Havrincourt soient avec Arras.

M. S. T. (Cambrai, Nord)

 84/5 (réponse dans la revue n° 85) : Pourrait-on me dire de quand date cette photo du baptême d'une cloche dans l'église Saint-Géry de Cambrai ?

M. H. C. (Malincourt, Nord)

 84/6 (réponse dans la revue n° 84) : Quels furent les propriétaires successifs du moulin DANJOU, avenue du Cateau ?

M. G. L. (Cambrai, Nord)

 84/7 : Quelqu'un pourrait-il me dire où se trouvait cette vannerie cambrésienne ? Je pense qu'il pourrait s'agir du magasin DAMBRINE qu'on retrouve après la Première Guerre dans les baraquements de la Grand Place... Quelqu'un pourrait-il me confirmer ?

M. K. P. (Cambrai, Nord)

 84/8 : Recherche des informations sur le "dispensaire Charles PAGNIEZ", 105 rue de Solesmes à Cambrai.

M. K. P. (Cambrai, Nord)

 84/9 : Quelle est la signification de ces 3 lettres (SAV) gravées dans l'écusson présent sur la façade de la maison patrimoniale Fénelon de Cambrai (située à l'angle de la grande rue Fénelon et de la rue Godeliez-Bolvin) ?

M. N. D. (Lille, Nord)

Questions de la revue n° 83 :

 83/1 : J'ai relevé dans plusieurs documentations l'existence d'un Jean-François MORTIER, gendarme, qui serait le frère de Charles MORTIER, père du maréchal et qui aurait été à l'origine de la carrière militaire de son neveu. François MORTIER figure dans un document du comité du salut public en date du 05/06/1794, il signe l'acte de naissance du maréchal en 1768, l'acte de mariage de la sœur du maréchal MORTIER Adélaïde x avec Antoine DELIMAL au Cateau-Cambrésis le 03/09/1792 entre autres... Mais l'étude de son dossier à Vincennes n'a rien donné concernant sa date de naissance, le lieu, tout comme sa date de décès... Dans les registres paroissiaux du Cateau, les seuls enfants du couple Charles Mathieu MORTIER-Anne Marie DEUDON (grands-parents du maréchal, mariés le 13/10/1717) sont : le 14/12/1726 Marie Albertine Rosalie parfois Robertine mariée avec ANCELIN Gabriel le 22/02/1753 ; le 12/08/1730 Antoine Charles Joseph marié le 19/05/1761 avec BONNAIRE Marie Joseph (parents du maréchal) ; le 29/03/1733 Anne Marie Joseph ; le 9/07/1735 Marie Anne Joseph ; le 18/03/1740 Auguste Joseph (j'ai vu lors d'une signature d'acte qu'il était dans les ordres). Un enfant du couple a été trouvé à Cambrai (paroisse Saint-Vaast) le 30/09/1717 appelé Mathieu Charles. Merci par avance aux personnes qui pourraient m'éclairer sur ce François MORTIER.

Mme F. G. (Cambrai, Nord)

 83/2 (réponse dans la revue n° 83) : Recherche ascendance d'Alfred PLANCHON, né vers 1860 à Paillencourt, et de son épouse Adrienne PIERRARD, originaire de la région de Charleroi (Belgique).

Mme M. R. (Paillencourt, Nord)

 83/3 (réponse dans la revue n° 83) : Recherche ascendance de Fulgence LEJEUNE, né vers 1860 à Villers-Outréaux, et d'Eugène BAILLARD, né vers 1860 à Crèvecœur-sur-l'Escaut.

M. S. L. (Cambrai, Nord)

 83/4 : Recherche le nom des parents d'Henri RENAUX, né le 3 décembre 1892 à Crèvecœur-sur-l'Escaut, décédé le 3 juillet 1901 à Crèvecœur-sur-l'Escaut.

M. D. D. (Cambrai, Nord)

 83/5 (réponse dans la revue n° 84) : Recherche informations concernant une dame nommée Gabrielle VALADE qui aurait épousé à Cambrai (?) entre 1900 et 1930 une personne d'origine belge.

M. A. J. (Issy-les-Moulineaux, Hauts-de-Seine)

 83/6 : Recherche ascendance de Joseph VAILLANT, meunier au moulin de Caullery en 1763, qui épousa en premières noces avant le 1er octobre 1749 Marie-Ange BUGNICOURT, fille du meunier de Caullery, et en secondes noces en 1763 à Ligny Marie Joseph HENNINOT.

M. B. D. (Lille, Nord)

 83/7 : Recherche traces d'un brevet supérieur qu'aurait obtenu à Cambrai vers 1897 Pauline RENAUX, née le 4 juillet 1880 à Crèvecœur-sur-l'Escaut.

M. D. D. (Cambrai, Nord)

 83/8 (réponse dans la revue n° 83) : Recherche signification des armoiries de la famille de HERTAING qui sont à l'origine des armoiries actuelles utilisées par les communes d'Awoingt et de Montécourt.

M. P. G. (Awoingt, Nord)

 83/9 (réponse dans les revues n° 83 et 96) : Recherche liste des propriétaires du moulin du Plat situé entre Cambrai et Proville.

M. P. D. (Proville, Nord)

 83/10 (réponse dans les revues n° 83 et 89) : Recherche les origines familiales de Dom Michel DAILLIET, abbé de Vaucelles au XVIIe siècle, dont on peut admirer la superbe pierre tombale à l'abbaye de Vaucelles. Y a-t-il un lien familial avec les DAILLIET de Boursies ?

M. D. D. (Cambrai, Nord)

 83/11 (réponse dans la revue n° 83) : Pourquoi trouve-t-on les symboles maçonniques du compas et de l'équerre sur les meules du moulin de Montrécourt ?

M. J.-F. W. (Montrécourt, Nord)

Questions de la revue n° 82 :

 82/1 (réponse dans la revue n° 82) : Recherche tous renseignements sur la terre de Fontaine-au-Tertre (à Viesly) et principalement sur les différents occupants de cette ferme depuis sa fondation.

Mme M. L. (Versailles, Yvelines)

 82/2 (réponse dans la revue n° 82) : Qui pourrait m'indiquer où se trouvait la caserne RENEL à Cambrai et que trouve-t-on aujourd'hui à son emplacement ?

M. D. L. (Cambrai, Nord)

 82/3 (réponse dans la revue n° 82) : Recherche informations sur la présence à Cambrai et l'environnement de Salomon AHITOUF, de confession juive, apprenti confiseur à Cambrai de 1926 à 1929. M. AHITOUF a été domicilié en 1926 place du Neuf Octobre où il était pensionnaire de l'hôtel "Brasserie de l'Eauette". Je recherche une photo de cet établissement afin de redonner une histoire à M. AHITOUF pour le sortir de l'anonymat. Il travaillait chez son oncle BEHAR Jacques, propriétaire d'une confiserie situe au n° 2 rue Achille DURIEUX, dans l'espoir de trouver une photo d'époque de cet établissement. Salomon AHITOUF, né le 19 avril 1902 à Constantinople (Turquie), a été arrêté avec son épouse Eugénie et leur fils Raphaël le 28 janvier 1944 à Saint-Quentin (Aisne) et déporté à Auschwitz-Birkenau en février 1944 à bord du convoi 68 au départ de Drancy, dont il n'est pas revenu. Toutes informations sur la communauté juive de Cambrai dans l'Entre-Deux-Guerres seront les bienvenues.

Mme E. A. (Saint-Quentin, Aisne)

 82/4 (réponse dans la revue n° 82) : Depuis de nombreuses années, je suis à la recherche de mes ancêtres et je suis bloqué à Neuville-Saint-Rémy avec la naissance d'Alexandre GLORIEUX en 1754 et décédé en 1843 à Hermies, marié à LANCELLE Amélie (1763-1834), boucher à Neuville-Saint-Rémy et fils d'Alexandre GLORIEUX, décédé en 1809, et de Marguerite LEFEBVRE, décédée en 1789 (boucher à Neuville-Saint-Rémy). Je recherche des informations sur Alexandre, père décédé en 1809.

M. P. G. (Lambres-lès-Douai, Nord)

 82/5 (réponse dans les revues n° 83 et 84) : Les Restos du Cœur de Cambrai viennent de s'installer à côté de l'école Saint-Bernard, rue de Roubaix, à l'emplacement d'un ancien magasin LIDL. Le parking est délimité au nord et à l'ouest par un énorme mur de briques avec une tour dans l'angle. À quoi correspondent-ils ? Sont-ce les vestiges d'un autre bâtiment ?

M. K. P. (Cambrai, Nord)

Questions de la revue n° 81 :

 81/1 (réponse dans la revue n° 81) : Qui pourrait m'en dire plus sur le couvent de Paillencourt ?

M. B. C. (Fontaine-Notre-Dame, Nord)

 81/2 (réponse dans la revue n° 81) : Recherche informations selon laquelle l'aviateur SAINT-EXUPÉRY serait venu en Cambrésis pour obtenir du tissu pour entoiler les ailes de son avion ?

Mme M. V. (Valenciennes, Nord)

 81/3 (réponse dans la revue n° 83) : Recherche informations (listes) et témoignages sur les jeunes filles de la fondation VANDERBURCH de Cambrai entre 1930 et 1945.

Mme M.-C. L. (Cambrai, Nord)

 81/4 (réponse dans la revue n° 81) : Il se dit que le célèbre poète Louis ARAGON a stationné dans le Cambrésis en tant que militaire durant la Drôle de Guerre. Est-ce exact ?

M. E. B. (Carnières, Nord)

 81/5 (réponse dans la revue n° 81) : Dans le n° 142 de "L'amateur d'autographe" de novembre 1867, on écrit que le directeur des domaines a versé aux Archives départementales du Nord les documents du bureau de Cambrai, parmi lesquels se trouvent deux "chassereaux", celui des fermages, revenus et rentes de l'abbaye de Cantimpré, et celui des rentes du collège de Cambrai. Peut-on savoir ce qu'est un "chassereau", en quoi il se distingue d'un sommier, un terrier, d'un compte et si c'est un mot d'origine cambrésienne ?

M. P. G. (Paris)

 81/6 : Recherche traces d'un enfant appelé Jean LEIGNIEL, né vers 1914 à Villers-Outréaux, qui serait mort vers 1918 lors de l'évacuation en Belgique de la grippe espagnole.

M. H. C. (Malincourt, Nord)

 81/7 : Recherche l'identité de ce soldat (un Anglais ?) représenté le 20 février 1942 sur une aquarelle du peintre Georges BRIGON (né le 16 juillet 1909 à Paris VIe). Il semblerait que ces deux hommes aient été ensemble prisonniers au Stalag VII A de Sagan.

M. O. G. (Masnières, Nord)