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Questions des lecteurs (revues n° 91 à 100)

Autres questions parues : revues n° 1 à 10, 11 à 20, 21 à 30, 31 à 40, 41 à 50, 51 à 60, 61 à 70, 71 à 80 et 81 à 90

Questions de la revue n° 96 :

 96/1 (réponse dans la revue n° 96) : L’acte de décès de Léocadie BRICOUT-VAILLANT (fondatrice de la réplique de la Sainte-Chapelle à Estourmel située près de l’église, dans le cimetière communal), a été établi le 16/06/1880, après un jugement du Tribunal de 1ère Instance de Cambrai du 28/05/1880 pour son décès ayant eu lieu le 28/03/1880. Pour quelle raison ? Où pourrais-je obtenir une copie du jugement du 28/05/1880 ?

M. J-P. P. (Cauroir, 59).

 96/2 (réponse dans la revue n° 96) : Auriez-vous des infos sur le trafic (type de matériel et séries utilisées) ainsi que des informations et photographies sur la ligne de chemin de fer Escaudoeuvres-Gussignies (B) ?

M. A. F. (Saint-Vaast-en-Cambrésis, 59)

 96/3 (réponse dans la revue n° 96) : Un dénommé THENARD a fait donation au musée de Cambrai de divers objets, de qui s’agit-il ?

Mme T. H. (Cambrai, 59).

 96/4 (réponse dans la revue n° 96) : Qui pourrait me dire à quoi correspondent les initiales visibles sur les grilles du 22 de la Grande rue Vanderburch à Cambrai ?

M. A. G. (Cambrai, 59).

 96/5 (réponse dans la revue n° 96) : Recherche informations sur les guetteurs du beffroi de Cambrai et sur un certain Jean Baptiste LAUDE (1864-1915). Dans le recensement de Cambrai de 1906, Jean-Baptiste LAUDE (1864-1915) dont la profession indiquée sur la plupart des actes que j'ai pu retrouver était journalier, apparaît comme sapeur-pompier. Et c’est à ce titre qu’il aurait été guetteur. Mon père me dit que c'est en temps que pompier que Jean-Baptiste montait quelquefois dans le beffroi de Cambrai et faisait probablement office de guetteur. Il mourut le 29 novembre 1915, à Cambrai, à l'âge de 51 ans et reçut en 1925, à titre posthume, la médaille de la Grande Guerre. Les textes disent que cette médaille fut accordée à tout militaire ou personne présente sous les drapeaux ou à bord des bâtiments entre le 2 août 1914 et 11 novembre 1918. Elle fut également accordée aux civils ayant servi entre ces mêmes dates aux armées ou à l’intérieur. Que s’est-il passé le 29 novembre 1915 ?

M. M. L. (Hérin, 59)

 96/6 : Recherche journal ou texte parlant de la cérémonie de bénédiction du calvaire de Beaumont-en-Cambrésis qui eut lieu le 3 juillet 1903.

M. D. H. (Beaumont-en-Cambrésis, 59)

 96/7 (réponse dans la revue n° 96) : Un de mes ancêtres, Alfred VILETTE (1854-1886), originaire de Quièvy, époux de Maria DAVAINE, domicilié dans cette commune au 27 rue de Cambrai, est décédé le 8 juin 1886, place d'Armes (aujourd'hui Place Suzanne Lannoy). Celui-ci a été transporté chez un voisin, Adolphe REMY, domiciliée sur « La Place » où son décès a été constaté. De source familiale, il aurait été poignardé près de l'estaminet situé sur « la Place d'Armes ». Pourrais- je trouver un article de journal local de cette époque, relatant cette chronique ?

Mme N. D-L. (Proville, 59)

 96/8 (réponse dans la revue n° 96) : La commune de « Les Rues des Vignes » possède un lieu-dit « les Aries », en bordure de la rue des Capitaines, à proximité des anciens étangs de l’abbaye de Saint-Aubert de Cambrai. Dans l’arpentage des étangs de Vinchy du 12 janvier 1735 (ADN, 36 H 1080), l’arpenteur BOUTEMY évoque « une mencaudée d’arry vulgairement appelée les Arry BIGO ». Sur le plan cadastral de Crèvecoeur de 1824, le lieu « les Aries » apparaît toujours. Que signifie des « aries »?

M. A. G. (Les Rues des Vignes, 59)

Questions de la revue n° 95 :

 95/1 (réponse dans la revue n° 95) : Recherche la date exacte de décès de Louis Émile CUVILLERS et de Véronique DEFONTAINE, d'Haynecourt, décédés après 1919.

M. E. C.

 95/2 (réponse dans la revue n° 95) : Recherche ascendance de HŒZ Laurent, ménager, veuf de Jeanne-Catherine TALFER, né le 01/08/1684 à Eswars, décédé le 11/01/1757 à Eswars, époux le 18/06/1726 à Thun-l'Évêque de GRENEZ Catherine, née vers 1706 à Thun-l'Évêque, décédée le 15/10/1769 à Eswars.

Mme A.-M. H. (Seine-Maritime)

 95/3 (réponse dans la revue n° 95) : Quelqu'un pourrait-il me dire s'il y eut des verreries dans la ville de Cambrai ? Pourquoi trouve-t-on à Rochère (Haute-Saône) des bocaux dénommés "CAMBRAI" ?

Mme C. G. (Rochère, Haute-Saône)

 95/4 : Recherche ascendance de Pierre MARE qui épousa avant 1732 (à Cambrai ?) Marie-Scholastique DELVILLE.

M. A. D. (Wallers, Nord)

 95/5 (réponse dans la revue n° 95) : Recherche ascendance d'Appoline TRANNOIS, née le 05/05/1861 à Crèvecœur.

M. A. D. (Wallers, Nord)

 95/6 : Recherche les origines de Jeanne VALLÉE, épouse vers 1680 de Maximilien MORTIER. Serait-elle la fille de VALLET Antoine et de Marie-Marguerite HIDEUX ? Elle est citée dans un acte notarié du 22/06/1673 (AD59, J 1366/33) avec Anne VALEZ épouse de Michel HERLEM, mayeur de Saint-Hilaire qui est la fille de VALLET Pierre, censier du chapitre de Viesly, et DEMONTEVILLE Antoinette, tous deux inhumés à Briastre.

Mme F. G. (Cambrai, Nord)

 95/7 : Pour quel fait d'armes Edmond TAGO, veilleur de nuit, né en 1923 à Cambrai, décédé en 1981 à Cambrai, a-t-il obtenu la Croix de Guerre ?

M. J.-P. C. (Proville, Nord)

 95/8 : Pourriez-vous m'indiquer quel est l'auteur de l'œuvre picturale originelle "Le martyre de saint Léger" recopié dans les années 1920 par le peintre Paul PRÉVÔT pour l'église de Ribécourt-la-Tour ?

M. J.-P. L. (Cambrai, Nord)

 95/9 (réponse dans la revue n° 95) : Qui pourrait me donner le blason de la famille bourgeoise LAUDE de Cambrai, ainsi que les documents attestant la possession et l'utilisation de ce blason ?

M. M. L. (Petite-Forêt, Nord)

 95/10 (réponse dans la revue n° 95) : Je possède une armoire portant des blasons qui pourraient être ceux d'Antoine d'ESTOURMEL, seigneur de Plainville, qui épousa en 1567 Suzanne d'ESPINAY. Qu'en pensez-vous ?

M. A. S. (Pays-Bas)

 95/11 (réponse dans la revue n° 95) : Qui pourrait m'en dire plus sur le 11 bis rue des Chanoines à Cambrai ?

Mme M.-F. W. (Cambrai, Nord)

 95/12 : Je projette de réaliser un réseau ferroviaire en miniature sur la ligne du Chemin de Fer du Cambrésis, plus précisément la section Saint-Aubert à Saint-Hilaire-lez-Cambrai. Je voulais savoir si vous n'auriez pas un plan de ces gares afin de pouvoir faire une construction sur imprimante 3D à l'échelle A0.

M. F. A. (Saint-Vaast-en-Cambrésis, Nord)

 95/13 (réponse dans la revue n° 95) : Recherche toutes informations sur la fabrique de chicorée MAIRESSE de Cambrai.

Mme E. M. (Lille, Nord)

 95/14 (réponse dans la revue n° 95) : À partir de quand l'orthographe de la ville de "Cambray" est-elle devenue "Cambrai" ?

M. J.-P. M. (Cambrai, Nord)

 95/15 (réponse dans la revue n° 95) : Existait-il un béguinage dans la rue Delphin-Dutemple à Cambrai dans les années 1970-1980 ?

M. J.-P. M. (Cambrai, Nord)

 95/16 (réponse dans la revue n° 95) : Quel est ce tank sur lequel des enfants de la commune de Saint-Souplet posent au début des années 1920 ?

M. M. H. (Haynecourt, Nord)

 95/17 : Recherche la photo d'une voiture GOBRON ayant transporté des clients de la gare de Cambrai à un hôtel. Cette voiture a appartenu à Alexis DREYE. On ne sait jamais, peut-être que cette voiture apparaît sur les photos d'hôtels. Elle est de 1922.

M. S. V. (Lille, Nord)

 95/18 (réponse dans la revue n° 95) : Recherche informations sur les origines et l'identité du militaire Louis MOUILLE, qui fut le 23 juin 1806 à Paris XII (hôpital des enfants trouvés) le père d'un enfant, de son union avec Félicitée Joseph Caroline GUEGUIN, de Villers-Outréaux.

Mme M. M. (Cambrai, Nord)

 95/19 (réponse dans la revue n° 95) : Recherche toutes informations sur l'architecte MEURANT qui restaura le château de Bourlon vers 1844.

Mme L. L. (Bourlon, Pas-de-Calais)

 95/20 (réponse dans la revue n° 95) : Pourriez-vous me dire quand a été construit le presbytère d'Esnes ?

M. D. B. (Marcoing, Nord)

 95/21 (réponse dans la revue n° 95) : Y avait-il déjà deux fermes dans le hameau de Beaucamp à Villers-Plouich avant la Première Guerre mondiale ?

M. C. M. (Gouzeaucourt, Nord)

Questions de la revue n° 94 :

 94/1 (réponse dans la revue n° 94) : Quelqu'un disposerait-t-il d'informations ou de documents sur les canalisations souterraines qui rejoignaient autrefois l'ancienne sucrerie de Villers-Outréaux ?

M. C. C. (Maing, Nord)

 94/2 (réponse dans la revue n° 94) : Qui pourrait me donner une traduction des pierres tumulaires suivantes de l'ancienne cathédrale de Cambrai :

Pierre tumulaire de Jehan DANIAUS (en pierre bleue de Tournai) : "Chy devant gist frères Jehans DANIAUS, jadis gardyens et lisières de cheens qui fit faire les fourmes du cuer le librairie et y epar... Refrotoir et pluiseurs aultres cos biens liquel trespassa l'an M CCCC VIII le jour de F... priez pour son ame" (1401).

Pierre tumulaire de Watier de BEAUVOIR, chanoine et prévôt de l'église de Cambrai, ornée dans la partie haute d'un crucifix entouré de la Vierge et de saint Jean, du gisant de Watier de BEAUVOIR et en-dessous de trois écus portant des armoiries illisibles. Mort le 2 juillet 1401 : "Voto Sincero qui transis fundeprecat Pue P. Waltero de BEAUVOIR qui tumulat Marmore sb G(eli)do cocluserat Utra'iura Pectoris in se... positura M. semel t quat (er)... (sub) duodena Luce juli rapitur aut... Erandus amena".

M. T. G. (Maretz, Nord)

 94/3 (réponse dans les revues n° 94 et 95) : Recherche toutes informations sur les origines et l'histoire de "la ferme du halage" située en bordure du canal de Saint-Quentin, à Cantaing-sur-Escaut.

M. A. B. (Cantaing-sur-Escaut, Nord)

 94/4 : Recherche informations sur Georges DELOBEL, né à Calais le 7 mai 1920, éclusier à l'écluse de Saint-Vaast à Crèvecœur-sur-l'Escaut durant la Seconde Guerre mondiale et contraint au Service Obligatoire du Travail, domicilié, en 1951, rue de la Gare à Marcoing.

Carte du S.T.O. de Georges DELOBEL

M. J.-P. D. (Bordeaux, Gironde)

 94/5 (réponse dans la revue n° 94) : Au dos d'un portrait d'Eugène BENON par PUVIS de CHAVANNES, connu pour avoir été plusieurs fois exposé, figurent sur le châssis deux références manuscrites : en petits caractères, celle de l'exposition de 1976-1977 à Paris et à Ottawa ; et au--dessus, la mention LARGILIERE Cambrai. Ce tableau fut vendu en 1955 à l'Hôtel Drouot à Paris. Qui était ce LARGILIERE ? Ce tableau fut-il exposé à Cambrai ?

M. B. P. de C. (Paris)

 94/6 (réponse dans la revue n° 94) : Je dispose dans ma propriété du 158 rue du Pont aux Moulins à Cambrai d'anciennes meules. Celles-ci se rattachent-elles à un moulin qui se trouvait à cet endroit ?

Mme F. H. (Cambrai, Nord)

 94/7 (réponse dans la revue n° 94) : J'aimerais connaître l'origine de l'expression "armée noire" qui, dans notre secteur, désigne "la racaille". Elle donne lieu aux insultes "tas d'armée noire" (qui malgré le mot "tas" peut s'adresser à un seul individu) ou " espèce d'armée noire". Y aurait-t-il un rapport avec Cambrai ?

M. G. L. (Cambrai, Nord)

 94/8 (réponse dans la revue n° 94) : Qui pourrait me communiquer des informations sur le soldat anglais Alex THOMSON, de la 52th division, 81th Coy, cité à Proville le 16 juin 1918 ?

Mme C. F. (Proville, Nord)

Questions de la revue n° 93 :

 93/1 : Nous sommes un comité de bénévoles qui mène des recherches sur l'histoire de Woesten, un village entre Ypres et Fumes en Flandres (Belgique). Dans les archives, on a trouvé cette photo remarquable ci-dessous. On voit des travailleurs dans une chicorée. Sur la brouette, on peut lire "SCHOONBERGHE", traduction flamande pour "Beaumont". "Schoon" = "Beau", "berghe" = "mont". Pouvons-nous supposer que la photo a été prise à Beaumont-en-Cambrésis ? Pourriez-vous nous confirmer cela ? Plusieurs personnes sont d'origine de Woesten : Cyriel HENNIAERT, Alphonse DECONINCK et Honore HENIAERT. Ils venaient travailler des Flandres dans les chicorées en Nord de la France. La deuxième personne de gauche est Camille WULLEMAN, décédé en 1915. La photo a donc été prise avant 1915. Ce n'est peut-être pas évident, mais pourriez-vous nous fournir des informations plus concrètes concernant cette chicorée ?

M. M. D. (Woesten, Belgique)

 93/2 (réponse dans la revue n° 93) : Pourriez-vous me dire qui furent les "rois de Cambrai" à l'époque mérovingienne ? Ragnacaire et Ragnhard semblent l'avoir été, mais on parle aussi parfois de Clodion le Chevelu et autres...

M.H. P. (Alizay, Eure)

 93/3 (réponse dans la revue n° 93) : Des tableaux et sculptures antérieurs à la Première Guerre mondiale ont été déposés au Cercle militaire de Cambrai. Qui pourrait me dire où se trouvait ce cercle militaire ? Quelle fut son histoire et qu'est devenu le patrimoine qui s'y trouvait ?

M. B. B. (Wambaix, Nord)

 93/4 (réponse dans la revue n° 93) : Recherche toutes informations sur la briqueterie de Neuville-Saint-Rémy qui jouxtait "le Moulin Savary".

M. C. D. (Neuville-Saint-Rémy, Nord)

 93/5 (réponse dans la revue n° 93) : Il se raconte qu'Adolf HITLER aurait dormi dans une maison de maître située au bas de la rue Saint-Georges (en direction du boulevard de la Liberté), lors de sa venue à Cambrai en juin 1940. Est-ce exact ?

M. F. C. (Cambrai, Nord)

 93/6 : Recherchons toutes photographies du passage des Allemands à Caudry en mai 1940. Envoyer à : caudry.histoire.patrimoine@gmail.com

M. E. D. (Caudry, Nord)

 93/7 (réponse dans la revue n° 93) : On retrouve de nombreuses balles de fusils Chassepot près de l'aire d'autoroute de la Vacquerie (commune de Villers-Plouich). Y aurait-il eu des combats près des fermes de Bonavis et de la Vacquerie en janvier 1871.

M. B. D. (Villers-Outréaux, Nord)

 93/8 (réponse dans la revue n° 93) : Recherche toutes informations sur les origines de la "Colonie de vacances", route du Cateau à Cambrai.

M. R. B. (Avesnes-les-Aubert, Nord)

 93/9 (réponse dans la revue n° 93) : Recherche toutes informations sur l'histoire de la ferme et de la brasserie DELMOTTE, à Paillencourt.

M. D. D. (Paillencourt, Nord)

 93/10 (réponse dans la revue n° 93) : Recherche toutes informations sur l'histoire du château de Morenchies.

M. E. D. (emile.dejehansart@umons.ac.be)

 93/11 (réponse dans les revues n° 93 et 95) : En quelques mots, voici l'aventure de ma famille à Marcoing. En 1920, mon grand-père Jean François PERRE part de Coubon (près du Puy-en-Velay, Haute-Loire) où il habite avec sa famille, pour se rendre à Marcoing très exactement pour participer à la reconstruction d'édifices détruits par la guerre en tant que charpentier. Combien de temps et dans quelles conditions s'effectua ce voyage ? Ils habitèrent chemin de Masnières. Le 15 octobre 1920 meurt mon oncle Louis, 18 ans, qui était mécanicien et travaillait sans doute dans un garage. De quoi est-il mort ? Accident ? Le 9 septembre 1921, c'est son frère Édouard qui meurt à 13 ans de mort violente : en jouant avec des copains ils avaient trouvé des grenades non explosées dont la campagne était truffée, il paraît ! Trouve-t-on trace de cet évènement dans la presse de l'époque ? Fin 1921 (novembre ou décembre), mon grand-père François est attaqué une fin de semaine à la sortie d'un estaminet par des "détrousseurs" qui en veulent à sa solde ! Dans la famille, il se racontait qu'il s'en serait sorti, mais blessé au visage par un coup de poing "américain", blessure qui allait lui apporter bien des misères et sa mort le 3 février 1922 à l'hôpital de Cambrai. La famille est revenue au Puy-en-Velay fin 1923 ou 24 ? Qui pourrait m'aider à compléter ou illustrer cette histoire de famille ?

Photo de l'équipe de charpentiers qui travaillaient sur Marcoing.
Mon grand-père est avec une herminette sur l'épaule droite et il semble qu'il ait un pansement sur la joue gauche
donc après son agression et peu de temps avant sa mort !

M. D. P. (Espaly-Saint-Marcel, Haute-Loire)

 93/12 : Recherche photos anciennes du centre de formation A.I.S.S. Formation situé au 1461 avenue du Cateau à Cambrai, photographies d'archives de cette rue, voire même du bâtiment afin d'illustrer un post sur les réseaux sociaux du centre, sur l'historique de l'A.I.S.S.

M. E. S. (Cambrai, Nord)

 93/13 : Pourriez-vous me dire ce que représente la couverture de la revue n° 59 de février 2011 car j'ai le même plan, mais en noir et blanc.

 93/14 : Recherche la date de décès de LEGRAND Marie Pascaline marié à MONIEZ Henri Augustin le 2 octobre 1882 à Avesnes-les-Aubert. Leur fils MONIEZ Cézar, marié avec SOUSTELLE Marie Rose, vivait toujours à Avesnes-les-Aubert en 1919.

 93/15 (réponse dans la revue n° 94) : Je fais partie du forum 39/45. Le rapport du 78th U.S. Armored Artillery Battalion (2nd Armored) renseigne à la date du 2 septembre 1944 (à partir de 10:50) un appui du C.C.B. divisionnaire contre, je cite : "...des troupes S.S. enterrées sur des hauteurs". Les différentes coordonnées renseignées situent l'action sur la route Bapaume-Cambrai et notamment du côté du bois de Bourlon (quelques kilomètres à l'ouest de Cambrai). Premier questionnement : le même jour, le 67th Armored Regiment (C.C.B.) ne renseigne pas de combat particulier sinon une colonne allemande accrochée, avec l'appui de l'artillerie, vers midi. L'attention du rapporteur est surtout accaparée par les soucis logistiques en matière de ravitaillement en carburant. L'ouvrage de Maurice DELAME LELIEVRE "L'opération ‘Lynnet 1' n'aura pas lieu" apporte un éclairage allemand sur la situation à l'ouest de Cambrai au 2 septembre 1944 (cf. schéma ci-contre, à la qualité relative). Source : "Waffen-SS au combat" de Lothar VAN GREELEN. On y apprend la présence d'une Kampfgruppe de la 9.S.S.-Panzer-Division "Hohenstauffen" mené par le S.S.-Obersturmbannfuhrer Walter HARZER (chef d'état-major divisionnaire) dont le P.C. est justement caché dans le bois de Bourlon et d'un fort dispositif de 88 (au nombre conséquent de 18 pièces) déployés en profondeur sur les axes Arras-Cambrai et Bapaume-Cambrai, depuis le canal du Nord jusqu'aux abords de Cambrai. VAN GREELEN rapporte l'attaque américaine de 200 chars (ce qui me semble fort exagéré) et un nombre conséquent de 22 tanks détruits (les rapports U.S. que j'ai consultés ne décomptent aucune perte !? mais bien la présence de 88 dans le secteur ; des pièces qu'un L-3 Grasshopper de l'artillerie repère dont au moins 2, tractées, abandonnées au bord de la route). Je suis assez critique quant à l'exactitude des chiffres rapportés par Lothar VAN GREELEN dont l'objectivité semble pouvoir être mise en doute (rien qu'au niveau du schéma partagé, celui-ci présente une attaque de l'ouest vers l'est (Arras/Bapaume vers Cambrai) alors que l'axe de progression de la 2nd Armd est S/N de la Somme vers Tournai !). Les combats sont globalement rapportés par les deux camps, mais l'absence de détail au rapport du régiment U.S. constituant principal du Combat Command impliqué me laisse dans le doute. Des membres connaissent-ils cet épisode ? Ont-ils des éléments (surtout côté allemand ou C.C.B. de la 2nd Armd) qui permettent d'apporter un éclairage détaillé de ce combat du 2 septembre 1944 ?

M. D. L. (Alenya, Pyrénées-Orientales)

Questions de la revue n° 92 :

 92/1 (réponse dans la revue n° 92) : Pourriez-vous m'en dire plus sur la société "Rouquayrol" ou "Rouquairol" citée dans le recensement de Solesmes de 1906 ?

Mme D. L. (Alenya, Pyrénées-Orientales)

 92/2 (réponse dans la revue n° 92) : Quelles sont les origines de la foire aux bestiaux de la Saint-Mathieu du Cateau-Cambrésis qui avait lieu à la Saint-Mathieu ?

Cambrésis Terre d'Histoire (Les Rues-des-Vignes, Nord)

 92/3 (réponse dans la revue n° 92) : Auriez-vous des informations sur le hold-up de la sucrerie d'Escaudœuvres en novembre 1966 ? Les gangsters ont-ils pu être interpellés ?

Mme V. L. (Cambrai, Nord)

 92/4 (réponse dans la revue n° 93) : Qui pourrait me donner des informations sur l'église située 11 rue du Grand Séminaire à Cambrai.

M. J.-P. M. (Noyelles-sur-Escaut, Nord)

 92/5 (réponse dans la revue n° 92) : Dans l'optique du centenaire de la société des poètes français créée par le poète d'origine cambrésienne Auguste DORCHAIN, pourriez-vous m'indiquer s'il y a des lieux de mémoire rappelant Auguste DORCHAIN dans la ville de Cambrai ?

M. M. N. (Villers-en-Cauchies, Nord)

Questions de la revue n° 91 :

 91/1 (réponse dans les revues n° 91 et 92) : Savez-vous s'il existe un article d'une revue ou un livre d'histoire locale où l'on peut trouver des éléments sur l'origine de la différence syllabique dans les dénominations de la ville centre et du territoire ? Pourquoi Cambrai avec une prononciation en "ai" ou "ay" d une part et d'autre part Cambrésis avec une voyelle accentuée "é" ? Pourquoi n'est-ce pas le même son ? On voit bien que cette différence syllabique n'existe pas sur tous les territoires. Pour Douai, c'est homogène : Douai, Douaisis et non pas Douésis. L'appellation de Cambrai/Cambray est bien plus ancienne que le mot Cambrésis. me semble-t-il, n'est-ce pas ? Des appellations comté de Cambray/Cambrai ou comté du Cambrésis, laquelle a été utilisée en premier et l'autre à partir de quand ? Laquelle a été la plus utilisée ? En fait, à quelle époque apparaît le mot Cambrésis avec le "é" ? Dans quel type de texte est apparu le mot Cambrésis ? Et par quelle hypothèse explique-t-on cette apparition avec une prononciation différente de la dénomination de la ville ?

M. S. T. (Cambrai, Nord)

 91/2 (réponse dans la revue n° 91) : Auriez-vous des renseignements sur la famille d'ESCLAIBES et plus précisément sur une tombe qui se trouvait dans l'église d'Inchy. Existe-il une généalogie écrite de cette famille ? Un livre ? Des documents qui pourraient m'aider dans ma recherche ? Auriez-vous des photographies de cette sépulture avec les blasons et inscriptions ?

M. S. D. (Genval, Belgique)

 91/3 (réponse dans la revue n° 91) : Pourriez-vous me donner l'adresse et les dates d'activité de l'entreprise SAUVÉ et DUROYON, manufacture de dentelles et broderies, implantée à Cambrai et dont le numéro de téléphone était le 272 ?

M. R. W. (Escaudœuvres, Nord)

 91/4 (réponse dans la revue n° 91) : Pourriez-vous me dire ce qu'est le legs PARENT-LARIVIÈRE ?.

Mme D. L. (Alenya, Pyrénées-Orientales)