Cambrésis Terre d'Histoire fête ses 10 ans
La Grande Guerre (1914-1918)
1914 : La fin des temps tranquilles
et les méfaits de la guerre
Charles Joseph DEROY, une des 13 victimes de Crèvecœur-sur-l'Escaut, abattu sans motif par les Allemands le 27 août 1914 (Revue n° 26).
Le lieutenant William CHISHOLM (1892-1914), officier australien mort pour la France à Ligny-en-Cambrésis en août 1914 (Revue n° 11).
À Caudry, l'arrivée des Allemands ne se fait pas sans dégâts (Revue n° 10).
Une habitation incendiée à Crèvecœur-sur-l'Escaut (Revue n° 10).
L'occupation militaire et administrative
de nos villes et villages
Un laissez-passer ou Ausweis qui permettait à cette habitante de Cattenières de se déplacer (Cattenières notre village).
La Kommandantur de Cambrai (Hôtel de Ville) en 1917 (Revue n° 19).
L'occupant gère le cantonnement de ses troupes (Revue n° 8).
Les conscrits de Walincourt (Revue n° 26).
L'hôpital de campagne allemand de Walincourt (Revue n° 26).
L'occupation du village de Saint-Souplet par les troupes allemandes (Revue n° 10).
Sépultures allemandes dans le village de Walincourt (Revue n° 26).
L'occupant allemand contrôle l'économie
et réquisitionne les denrées et les matières premières
À Banteux, les Allemands réquisitionnent les matières premières et surveillent la pierre à chaux (J'ai quière min villach : Banteux par les cartes 1850-1950).
Tonneaux de bière réquisitionnés à Walincourt (Revue n° 26).
Un centre de ravitaillement pour les civils. Ici, le magasin VALET-LOR de Walincourt (Revue n° 26).
Le travail agricole était contrôlé par les autorités allemandes. Ici, les ouvriers de la ferme HERBERT à Haynecourt (Revue n° 24).
Automne 1917 : La Bataille de Cambrai
ou l'échec d'une offensive alliée
Fantassins allemands résistants aux tirs britanniques pour garder une position (J'ai quière min villach : Banteux par les cartes 1850-1950).
La difficile avancée des soldats britanniques au cœur d'un village du Cambrésis (Revue n° 19).
Les Allemands sont fiers d'avoir capturés un char britannique à Banteux (J'ai quière min villach : Banteux par les cartes 1850-1950).
Une pause bien méritée dans les tranchées de la ligne Siegfried (Revue n° 16).
Vue du village de Bourlon après la bataille de Cambrai (Revue n° 19).
À Masnières, un char britannique tombé dans le canal sert de support pour le pont provisoire (Revue n° 19).
Mœuvres après la bataille, un village rayé de la carte (Revue n° 11).
Les tranchées de la ligne Siegfried près de Gonnelieu (Revue n° 16).
Le Cambrésis libéré, mais détruit
Patrouille canadienne dans Cambrai (Revue n° 5).
Les cavaliers anglais, libérateurs de Walincourt (Revue n° 26).
L'Hôtel de Ville de Cambrai après son incendie. Le Tigre (CLÉMENCEAU) n'en revient pas (Revue n° 5).
Le 9 octobre 1918, rue de Noyon à Cambrai, les pompiers canadiens luttent contre un incendie (Revue n° 5).
Le Cambrésis libéré mais à quel prix ? L'exemple du village de Montay en 1919 (Revue n° 8).
Cambrai, le 13 octobre 1918, première messe à la cathédrale (Revue n° 5).
Honnecourt-sur-Escaut quelques jours après sa libération. Mais que reste-t-il ? (Honnecourt-sur-Escaut : Histoire et cadre de vie).
Des efforts pour entretenir le souvenir
Pièces du musée de la Grande Guerre à Bantouzelle (Revue n° 9).
Après la guerre, chaque commune fait ériger un monument aux morts en hommage à ses enfants tombés pour la patrie. Ici, le monument de Fressies (Revue n° 27).
Sépultures britanniques dans le cimetière militaire de Solesmes (Revue n° 22).
En novembre 1995, Fernand SAUVET, "poilu" de la Grande Guerre, est fait chevalier de la légion d'Honneur (Revue n° 16).
Dès 1914, les Allemands morts au combat sont inhumés dans le cimetière situé entre Montay et Le Cateau (Revue n° 7).
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